Sur le site de Bibliothèque et Archives Canada, on retrouve plusieurs photographies prises par Harry Rowed, du service de photographie de la Commission d’information en temps de guerre, à l’usine Johns-Manville d’Asbestos en juin 1944. Cinq ans plus tard était déclenchée la célèbre grève d’Asbestos.

À l’usine Johns-Manville à Asbestos (Québec), le contremaître Arthur Piché regarde l’amiante broyée passer à travers les batteurs lors du processus de fabrication du papier d’amiante. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada / PA-115070

Travailleuse manipulant la fibre d’amiante. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada

Machine à carder la fibre d’amiante pour filage et transformation, usine Johns-Manville à Asbestos (Québec). Clémence Gagnon, conductrice de machine. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada

À l’usine Johns-Manville à Asbestos (Québec), Armand Jutras conduit une machine à onduler d’épaisses feuilles de papier d’amiante utilisées pour entourer les tuyaux. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada

L’ouvrière Laurette Morin pose à côté d’un métier à tisser dansl’atelier des textiles à l’usine d’amiante Johns-Mainville Canada Inc. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

L’ouvrière Laurette Morin sourit et pose à côté d’un métier à tisser dans l’atelier des textiles à l’usine d’amiante Johns-Mainville Canada Inc. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

Des ouvriers surveillent une machine qui colle ensemble deux feuilles de papier d’amiante et qui les enroule sur un mandrin à l’usine Johns-Mainville Canada Inc. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

Un ouvrier portant des moufles en amiante fait la démonstration des propriétés ignifuges de ce matériau. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

Le chef du laboratoire Charles Webb effectue un essai pour déterminer le pourcentage de chaque longueur de fibre contenue dans un échantillon d’amiante à l’usine Johns-Mainville Canada Inc.Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

L’ouvrier Bratien Nourry conduit une presse à bardeaux pour découper dansdes panneaux d’amiante rigides des bardeaux à imitation de bois à l’usine Johns-Mainville Canada Inc. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /

L’ouvrière Clémence Gagnon surveille une machine à carder la fibre d’amiante utilisée pour le filage et le traitement à l’usine Johns-Mainville Canada Inc. Credit: Harry Rowed / Office national du film du Canada. Photothèque / Bibliothèque et Archives Canada /
Bibliographie
Andrew Rodger. Bibliothèque et Archives Canada [En ligne] Les industries de guerre canadiennes durant la Deuxième Guerre mondiale La commission d’information en temps de guerre et la photographie [Page consultée le 6 mai 2012] Adresse URL
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Tout ces gens travaillais sans protection sans masque ,…
il a du en avoir parmi eux qui ont été atteind de divers maladise comme le cancer du poumon, l’asbestose etc…
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En plus de l’exposition à l’amiante, la sécurité des machines laisse à désirer ….
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Les temps ont bien changés. Heureusement, c’est une époque révolue en 2012.
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