L’incendie du château Saint-Louis [Québec, 1834]

Vue du château Saint-Louis après 1823. Bibliothèque et Archives Canada.

Vue du château Saint-Louis après 1823 par Elizabeth Frances Hale. Bibliothèque et Archives Canada.

Le Canadien, 24 janvier 1834

Hier un peu après-midi le feu éclatta [sic] dans la partie supérieure du Château St. Louis, résidence de nos gouverneurs, et ce bel et couteux édidifice [sic] a été réduit en cendres du haut en bas. On a eu le temps de sauver tout l’ameublement et les meubles et effets particuliers de Lord Aylmer, qui étaient assurés, dit-on, pour £3000. Malheureusement le bâtiment ne l’était pas, et c’est une perte considérable pour la province, surtout si l’ouvrage de maçonnerie se trouve hors d’état de servir à nouveau. Le feu a duré jusqu’à ce matin et achève de consumer l’intérieur. Le froid excessif qu’il faisait hier a beaucoup nui au jeu des pompes. Malgré cela dans un édifice aussi haut, aussi grand, et où l’on ne pouvait servir le feu que d’un côté, il n’y avait guère de chance de le sauver. Un pareil accident fera voir, nous l’espérons, la nécessité de faire dans les grands édifices publics des murs de refente, avec garde-feu au-dessus du toit, et portes de fer dans l’intérieur, de distance en distance. De cette manière on ne risque de perdre qu’une partie.

Pour en savoir plus sur le château Saint-Louis, consultez l’article Forts et châteaux Saint-Louis (Québec) de l’Encyclopédie du patrimoine culturel de l’Amérique française.

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L’incendie du théâtre Saint-Louis [Québec, 12 juin 1846]

L’incendie du Parlement à Montréal en 1849

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L’incendie du faubourg Saint-Roch [28 mai 1845]

Découverte sur le site de l’ancien château et fort St-Louis à Québec en 1854

Le Canadien, 1er septembre 1854

Découverte archéologique. – Les travaux en activité pour la prolongation de la terrasse Durham, sur le site de l’ancien château et fort Saint-Louis, ont fait découvrir dernièrement une intéressante relique archéologique. En démolissant le vieux mur qui séparait l’enceinte du fort d’avec le jardin qui en dépendait, on a trouvé dans un des angles de ce mur deux fortes pierres monumentales, renfermant une plaque de cuivre sur laquelle était gravée une inscription latine que nous reproduisons ici avec sa traduction.

D.O.M
Anno reparata salutis,
millesimo sexcentisimo nonagesimo tertio
Regnante Augustissimo, Invictissimo et
Christianissimo Galliæ Rege
LUDOVICO MAGNO XIIII.
Excellentissimus ac Illustrissimus Daus. Daus.
LUDOVICUS DE BUADE,
Comes de Frontenac, totius NOVæ FRANCIæ,
semel & iterum Prorex.
Ab ipsomet, triennio ante, rebellibus Novæ,
Angliæ incolis, hane civitatem Quebecensem,
obsidentibus, pulsis, fusis, ae penitus
devictis,
Et iterum hocce supradidcto anno obsidionem
minitantibus,
Hane arcem cum adjectis munimentis
in totius patria tutelam, populi salutem,
necnon in perfidæ, tum Deo, tum suo Regi
legitimo, gentis iterandam confusionem
sumptibus legüs ædificari
Curavit,
Ac primarium hune lapidem
posuit.

JOANNES SOULLARD
scuipsit.

[L’an du salut mil-six-cent-quatre-vingt-treize, sous le règne du très-auguste, très-invincible et très-chrétien roi de France, Louis-le-Grande, 14e du nom, le très-excellent et très-illustre seigneur Louis de Buade, comte de Fronteanc, pour la seconde fois gouverneur de toute la Nouvelle-France, les habitants rebelles de la Nouvelle-Angleterre, trois ans auparavant, ayant été repoussés, mis en déroute et complètement vaincus par lui, qu’ils assiégaient cette ville de Québec, menaçant de renouveler le siège cette même année, a fait construire, aux frais du Roi, cette citadelle, avec les fortifications qui y sont jointes, pour la défense de toute la patrie, pour le salut du peuple et pour confondre de nouveau cette nation perfide et envers son Dieu et envers son Roi légitime, – Et il a placé cette première pierre.]

Les excavations pour les becs de gaz que l’on va établir sur la Place-d’Armes, ont aussi amené la découverte d’un squelette humain, dont plusieurs des ossements se trouvaient assez bien conservés. On a d’abord supposé que ces débris provenaient de quelque cimetière dépendant de l’ancien couvent des Récollets, dont l’église existait autrefois dans les environs immédiats de cette place; mais il n’en est rien. Ces religieux enterraient les défunts de leur ordre dans l’intérieur de leur église. On croit plutôt que le lieu où l’on a trouvé ces ossements servait de cimetière à un petit fort ou amas de cabanes de sauvages hurons qui s’établis sur la place d’armes, où, sous la protection des canons du fort Saint-Louis, ils se trouvaient à l’abri des attaques de leurs redoutables ennemis les Iroquois.

F.

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L’incendie du théâtre Saint-Louis [Québec, 12 juin 1846]

Dessin: William Henry Bartlett (1809-1854) et le Bas-Canada de 1838-1842

Les portes de Québec en images, XIXe siècle

Le château disparu (Château Saint-Louis à Québec)

Et que la lumière fut! (Québec, 30 septembre 1885)

Quelques évasions signées Bis Belleau [Québec,1869-1871]

Images du Bas-Canada (1790-1816) par le peintre George Heriot

Album |  | M928.92.1.1

Silhouette de George Heriot, vers 1810

Georges Heriot est né à Haddington (Écosse) en 1759. Il a fait ses études à la Royal High School d’Edinbourg (1769-1774).

En 1781, il publie A Descriptive Poem Written in the West Indies. Un peu plus tard, il aurait étudié à la Royal Military Academy de Woolwich. En 1783, il travaille au Ordnance Department de Woolwich.

En 1792, il est à Québec, toujours à l’emploi du Ordnance Department. Aussi, on sait qu’il a été sous-ministre des Postes de l’Amérique du Nord britannique pendant environ 17 ans (1799-1816).

Il expose a la Royal Academy of Arts en 1797 certaines de ses oeuvres. En 1804, il publie le premier ouvrage en anglais sur l’histoire du Canada, The History of Canadafrom its first discovery. Il publie en 1806 Travels through the Canadas

George Heriot démissionne en janvier 1816 et retourne quelques mois plus tard en Angleterre. Les années suivantes seront consacrées à la peinture et aux voyages.

Il est décédé le 22 juillet 1839 à Chelsea, Angleterre.

Oeuvres

Plusieurs lieux sont représentés dans ses oeuvres: l’Irlande, le Québec, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, la Grande-Bretagne, etc. Beaucoup de paysages, des Amérindiens et des occasions festives.

Les oeuvres qui suivent proviennent du site du musée McCord.

Peinture | Montréal 1810 | M973.152.1

Montréal, 1810

Estampe | Vue de la baie Saint-Paul depuis le fleuve Saint-Laurent | M22263

Vue de la baie Saint-Paul depuis le fleuve Saint-Laurent. v. 1807

Peinture | Canadiens des provinces d'en haut près de Montréal | M973.152.4

Canadiens des provinces d’en haut près de Montréal, 1815

Estampe | La danse ronde, danse circulaire des Canadiens, publiée en 1807 | M999.27.24

La danse ronde, danse circulaire des Canadiens, publiée en 1807

Estampe | Le menuet des Canadiens | M19871

Le menuet des Canadiens, 1807

Peinture | Montréal depuis l'Île Saint-Hélène | M928.92.1.21

Montréal depuis l’Île Saint-Hélène, v. 1801

Peinture | Vue de la chute Montmorency | M928.92.1.101

Vue de la chute Montmorency, 1816

Peinture | Saint-Augustin depuis Cap-Rouge | M928.92.1.17.1

Saint-Augustin depuis Cap-Rouge v.1810

Estampe | Costume des Indiens domiciliés d'Amérique du Nord | M965.39.5

Costume des Indiens domiciliés d’Amérique du Nord, 1807

Peinture | Pont sur la Jacques-Cartier, vers 1810 | M928.92.1.27

Pont sur la Jacques-Cartier, vers 1810

Peinture | Près de Québec, rivière Jacques-Cartier | M928.92.1.29

Près de Québec, rivière Jacques-Cartier, vers 1810

Peinture | Rivière du Loup, Canada | M928.92.1.88

Rivière du Loup, Canada, 1816

Peinture | Vue de Québec depuis le pont près de la Pointe De Lévy | M999.56.1

Vue de Québec depuis le pont près de la Pointe De Lévy, 1798

Bibliographie

Bibliothèque et Archives Canada [en ligne] George Heriot [Page consultée le 26 juin 2010, n’est plus en ligne]

Didier Prioul et M.A. , article   »Georges Heriot » (p.162-167) dans. Mario Béland, dir. La Peinture au Québec 1820-1850. Québec, Musée du Québec – Les Publications du Québec, 1991, 608 pages.

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Peinture: James Peachey et le Bas-Canada en 1784-1785

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Le meurtre d’Achille Taché, seigneur de Kamouraska (31 janvier 1839)

Maisons anciennes de pierre, de bois, de brique

Le château disparu (Château Saint-Louis à Québec)

Avant le Château Frontenac, à Québec, il y a eu le château Saint-Louis, résidence des gouverneurs et lieu de rencontre de la haute société. Voyons brièvement l’histoire de ce château dont les derniers vestiges sont enfouis sous la terrasse Dufferin.

La résidence du gouverneur

Premier Château Saint-Louis Source: GAGNON, Ernest. Le fort et le Château Saint-Louis: étude archéologique et historique. p.21

Le premier château Saint-Louis (nommé en l’honneur du roi Louis XIII) a été construit en 1647 à l’instigation de Charles Huault de Montmagny, gouverneur de la Nouvelle-France. Ce bâtiment a servi jusqu’en 1834 de résidence pour le gouverneur.

Il s’agit d’un bâtiment de pierre d’un seul étage de 26,2 mètres sur 7,3 mètres, surmonté d’un toit en bardeau. Cet édifice sera agrandi au début des années 1680

(Réf).

L’édifice est reconstruit dès 1694 à la demande de Louis de Buade, comte de Frontenac.

Si la situation pittorsque de la ville avait séduit l’illustre gouverneur dès le début dès le commencement de son premier séjour dans la Nouvelle-France, il en fut autrement de la résidence officielle qu’il devait habiter -le Château Saint-Louis,- qu’il trouva en fort mauvais état, et dont il se plaignit en toute occasion.

(Réf. p.40 )

Plans et élévations du château Saint-Louis en 1724 par Chaussegros de Léry Source: Wikipédia

Le deuxième château sera beaucoup plus imposant que son prédécesseur. Il y aura des travaux jusqu’en 1723, sous le mandat du Pierre de Rigaud, Marquis de Vaudreuil.

Il est prévu que l’édifice fasse plus de 36 mètres de long, ait deux étages, comporte un avant-corps central et deux pavillons (un à chaque extrémité de l’édifice), le tout recouvert d’un toit en ardoise

(Réf).

L’édifice est abîmé durant les bombardements de 1759. Des rénovations seront entreprises au cours des années suivantes. Le château est agrandi et on lui ajoute un étage en 1808-1811. Il brûle le 23 janvier 1834.

Un mariage et un enterrement

Le château a été le théâtre d’un mariage, le 30 août 1797, celui de Rebecca Prescott (fille du gouverneur-général Robert Prescott) et du capitaine John Baldwin. Hélas, la mariée est décédée à Québec quelques mois plus tard…

Le château quelques années avant sa démolition

Voici un dernier témoignage décrivant le château.

Les édifices publics [de Québec] sont le château Saint-Louis, l’Hôtel-Dieu, le couvent des Ursulines, le monastère des Jésuites, actuellement converti en casernes, les cathédrales protestante et catholique, l’église écossaise, l’église de la basse-ville, la maison de Justice, le séminaire, la nouvelle prison, et les casernes de l’artillerie; il y a deux marchés, une place d’armes, une parade et une esplanade. De ces bâtiments, le château Saint-Louis étant l’objet le plus saillant sur le sommet du rocher, mérite le premier d’être remarqué; c’est un beau bâtiment de pierre, situé près du bord d’un précipice d’un peu plus de deux cents pieds de hauteur, et soutenu de ce côté par un ouvrage solide en maçonnerie, qui s’élève jusqu’à la moitié de l’édifice, et surmonté d’une galerie spacieuse d’où l’on a une vue très imposante du bassin, de l’Ile d’Orléans, de la Pointe-Lévi, et du pays d’alentour. Le bâtiment a en totalité 162 pieds de long sur 45 de large; il a trois étages mais du côté du Cap il paraît beaucoup plus haut: chaque extrémité est terminée par une aile qui donne au tout ensemble un air libre et régulier; la distribution intérieure est commode, les décorations sont pleines de goût et magnifiques, et convenables à tous les égards à la résidence du Gouverneur Général. Il fut bâti peu après que la ville eût été fortifiée par des ouvrages réguliers, par conséquent il offre assez peu de beautés qui puissent attirer l’attention; pendant une longue suite d’années il fut négligé au point qu’on le laissa dépérir, et cessant d’être la résidence du commandant en chef, il ne servit plus qu’aux bureaux du gouvernement, jusqu’en 1808, alors que le parlement provincial adopta une résolution pour le réparer et l’embellir […].

(Réf. Joseph Bouchette, en 1815, dans Description topographique de la province du Bas-Canada, cité par Ernest Gagnon p. 202 et 204.)

Le château Saint-Louis Source: Ernest Gagnon, p. 203

De nos jours…

A l’endroit où s’élevait jadis le château Saint-Louis se trouve maintenant la terrasse Dufferin.

Entre 2005 et 2007, des fouilles archéologiques ont eu lieu. Le public a pu visiter le site dans le cadre des fêtes du 400e anniversaire de Québec en 2008.

Le Lieu historique national du Canada des Forts-et-Châteaux- Saint-Louis (désigné en 2001) englobe les vestiges des deux châteaux Saint-Louis, des quatre forts Saint-Louis et des jardins.

Les vestiges du fort et du Château Saint-Louis (2008) Crédits: Vicky Lapointe

Bibliographie

GAGNON, Ernest. Le fort et le château Saint-Louis (Québec): étude archéologique et historique. Librairie Beauchemin, Montréal, 1908, 284 pages. Adresse URL: http://www.archive.org/details/lefortetlechatea00gagn

GUIMOND, Jacques. [En ligne] Forts et châteaux Saint-Louis [Page consultée le 3 avril 2010] Adresse URL:http://www.ameriquefrancaise.org/fr/article-263/Forts_et_ch%C3%A2teaux_Saint-Louis_%28Qu%C3%A9bec%29.html

Parcs Canada [En ligne] Lieu historique national du Canada des Forts-et-Château-Saint-Louis Structure et aménagements et forts et châteaux [Page consultée le 3 avril 2010] Adresse URL: http://www.pc.gc.ca/fra/lhn-nhs/qc/saintlouisforts/natcul/natcul3.aspx

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Parmi les nombreux artistes qui ont immortalisé Québec, l’un des plus célèbres est James Pattison Cockburn. Voici brièvement sa biographie puis quelques-unes de ses oeuvres ayant pour thème Québec.

Biographie

Estampe | James Pattison Cockburn | M369

James Pattison Cockburn 1849. Crédits: Musée McCord

James Pattison Cockburn est né à New York, le 18 mars 1779. Son père fait partie de l’armée britannique. Il suit ses traces en devenant cadet à la Royal Artillery de Woolrich (Grande-Bretagne) en 1793. Dans l’armée, il sera tour à tour capitaine, colonel puis major général. Il sera aussi peintre topographe.

Cockburn a beaucoup voyagé. Il a combattu à Manille, Copenhague, Anvers… Il a visité la Suisse et l’Italie.

En 1838, il est nommé directeur du Royal Laboratory du Royal Arsenal de Woolwich. C’est dans cette ville qu’il décède le 18 mars 1847.

Québec

Cockburn est stationné à deux reprises au Canada. La première fois, c’est de novembre 1822 à juin 1823. Son deuxième séjour durera d’août 1826 à août 1832. C’est à Québec qu’il est basé, en tant que commandant de la Royal Artillery. Il est un artiste de talent. Il croque sur papier (aquarelle et sépia) différents aspects de Québec et ses environs.

Il a publié en 1831 Quebec and Its Environs; Being a Picturesque Guide to the Stranger.

Cockburn nous a laissé une mémoire visuelle inégalée pour la ville de Québec des années 1830. Les historiens de l’architecture, considérant surtout l’ampleur du phénomène, en ont maintes fois évoqué la pertinence et bien des écrits se sont prêtés au jeu des identifications.

Réf. La peinture au Québec 1820-1850. p. 224

et

L’œuvre de Cockburn (aquarelles, dessins et sépias) est d’une valeur documentaire inestimable pour l’histoire du Canada. L’artiste militaire s’intéresse particulièrement à la ville de Québec, son architecture, ses rues étroites et ses paysages pittoresques. Ses œuvres topographiques montrent un grand souci du détail et une exactitude dans la représentation du sujet.

(Réf)

Galerie

Estampe | La basse-ville de Québec, depuis le parapet de la haute-ville, 1833 | M22020

La basse-ville de Québec, depuis le parapet de la haute-ville, 1833 James Pattison Cockburn (1779-1847) 1833, 19e siècle 43.4 x 66.7 cm Achat de John L. Russell Reg’d M22020 © Musée McCord

Estampe | La chute Montmorency (avec Québec au loin) | M5522

La chute Montmorency (avec Québec au loin) James Pattison Cockburn (1779-1847) 1833, 19e siècle 43.1 x 66.7 cm Don de Mr. David Ross McCord M5522 © Musée McCord

Vue d’hiver sous la rue du Fort du Chateau St. Louis v.1830. Credits: Bibliothèque et Archives Canada

D’autres images sur le site du Musée McCord et Bibliothèque et Archives Canada.

Bibliographie

BELAND, Mario sous la dir. de. La peinture au Québec 1820-1850. Musée du Québec- Les Publications du Québec, Québec, 1991,608 pages.

Musée National des Beaux-Arts du Québec. [En ligne] James Pattison Cockburn [Page consultée le 4 avril 2010] Adresse URL: http://web.archive.org/web/20130512225639/http://www.mnba.qc.ca/contenu.aspx?page=1470

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