Créer un compte Facebook pour les organismes à vocation historique

J’ai dénombré jusqu’ici une centaine d’organismes québécois de diffusion de l’histoire (musées, sociétés d’histoire et de généalogie, etc.) qui utilisent maintenant Facebook comme outil de communication. J’observe que Facebook est largement plus utilisé que Twitter par ces organismes.

Il existe trois types de comptes Facebook: ami, fan page (page fan, page d’adeptes) et Groupe. Lequel choisir? Quoi publier?

 

Ami

C’est le compte de base de Facebook. Vous pouvez ajouter diverses informations à votre profil: études, emploi, intérêts, coordonnées, etc. Ce genre de compte est bien pour un individu, mais j’observe que certains organismes (surtout des musées) l’adopte. Un tel type de compte est bien pour le réseautage, la discussion et comme outil de veille informationnelle. Vous pouvez publier sur votre page des photos, des commentaires, des images et des vidéos.

Vous choisissez quels éléments de votre profil sont publics ou ne le sont pas. Faites attention à ne pas révéler trop d’informations personnelles (ex. adresse de votre maison, numéro de téléphone personnel, etc). Vous contrôlez une bonne partie de ce que vous voyez sur votre page. Vous pouvez masquer les notifications d’applications qui ne vous intéressent pas.

Pour ouvrir un compte: http://www.facebook.com/

Groupe

Le compte de type groupe vise à créer une communauté autour d’un produit ou d’un intérêt commun. Les membres du groupe peuvent publier sur le mur du groupe. L’administrateur peut décider qui sera membre du groupe ou non. Les informations du groupe ne sont pas indexées par les moteurs de recherche. Les membres du groupe ne sont pas avertis lorsqu’il y a une nouvelle publication sur le mur. Vous devez donc de votre propre chef aller sur la page du groupe de temps en temps pour voir les nouveautés.

L’option groupe peut être bien pour créer un groupe de discussion sur un sujet précis, mais il est facile de l’oublier. C’est la moins intéressante des trois options.

Sur le site commencamarche.net, on trouve la procédure pour créer un groupe Facebook.

Fan page (page fan, page d’adeptes)

Ce type de page est semblable à un groupe, mais dans ce cas-ci, le contenu est indexé par les moteurs de recherche. Les publications de la page apparaissent dans le fil d’actualités des adeptes/abonnés. La page permet de contrôler ce qui est publié sur le mur et ainsi interdire les commentaires que nous qualifieront poliment d’inappropriés ou hors-sujet.

Ce type de page Facebook vous permet d’avoir une plus grande visibilité sur internet qu’un groupe. Vous avez accès à des statistiques concernant les membres de la page.

A noter: le nom de la page est définitif. Le seul moyen de changer le nom est d’effacer la page et de créer une nouvelle page.

Pour créer une fan page: http://www.facebook.com/pages/create.php

Pour en savoir un peu plus sur les groupes et les pages d’adeptes, je vous invite à consulter ce lien.

Quoi publier sur Facebook?

Facebook, c’est pour partager des articles, des vidéos et des images,  des éphémérides, des nouvelles, réseauter, poser des questions, commenter, publiciser des événements, recruter des membres, interagir avec le public, etc.

Conclusion

En somme, à mon avis, le compte Facebook de base convient à une personne tandis que les organismes devraient plutôt créer une  fan page (page d’adeptes). A vous de trouver quel contenu sera le plus pertinent et à quelle fréquence. N’hésitez pas à expérimenter et à observer comment les utilisateurs se servent de Facebook. Facebook est un outil gratuit qui vous aidera à faire connaître un organisme, un produit ou une cause.

Billets reliés: 

L’exposition virtuelle: outil de diffusion de l’histoire

Les organismes de diffusion de l’histoire du Québec prennent tranquillement le virage web. J’ai abordé ce sujet à quelques reprises ces derniers mois (voir liste à la fin de ce billet). Je ne le répéterai jamais assez: le web est un incontournable dans la diffusion de l’histoire! Le web, s’il est bien utilisé, permet de transmettre une information claire et fiable à un large public. Le présent billet va porter sur le thème des expositions virtuelles comme outil de diffusion de l’histoire. Pourquoi devrait-on créer des expositions virtuelles? C’est ce que nous allons voir.

Qu’est-ce qu’une exposition virtuelle?

Définition:

 »Une exposition virtuelle est une exposition diffusée sur Internet. L’exposition virtuelle est un moyen de plus en plus utilisé par les musées, les détenteurs de fonds culturels, ainsi que les artistes pour diffuser leurs œuvres.  »

source (Wikipédia)

A quoi ressemble une exposition virtuelle?

Quelques exemples:

  1. Des saisons en Nouvelle-France (Musée de la civilisation à Québec) http://www.mcq.org/Nouvelle-France/
  2. Rivière-Ouelle et autres expositions, (Société historique de la Côte-du-Sud) http://www.shcds.org/expo/index.htm
  3. Une école virtuelle: l’expérience de l’école au 19e siècle au Canada (Bibliothèque et Archives du Canada) http://www.collectionscanada.gc.ca/petite-ecole/index-f.html
  4. Les expositions virtuelles des archives de la ville de Québec http://www.ville.quebec.qc.ca/archives/expositions_virtuelles/galerie.aspx
  5. Quelques expositions sur l’histoire de Magog en Estrie (Société d’histoire de Magog) http://www.histoiremagog.com/exposition.php

Pourquoi créer une exposition virtuelle?

Une société d’histoire, tout comme un musée, un centre d’interprétation, etc. a pour mission de diffuser des connaissances. Or, plusieurs trésors demeurent cachés de la vue du public, que ce soit à cause de leur fragilité, par manque d’espace pour les exposer ou pour toute autre raison. L’exposition virtuelle permet de révéler ces objets, de les  »faire parler ». Une exposition virtuelle donne un aperçu des collections d’une institution.

Concevoir une exposition virtuelle permet d’approfondir ses connaissances. Les personnes qui travaillent à monter une telle exposition acquièrent des connaissances précieuses parce qu’il faut fouiller les collections, sélectionner des items, faire des lectures, etc. Dépendamment des tâches effectuées, on touche aux communications, au marketing, à l’informatique, etc.

La mise en ligne d’une exposition peut permettre de rejoindre le grand public. Une fois que votre exposition est indexée dans un moteur de recherche reconnu (ex. Google, Yahoo) et publicisé (Twitter, médias locaux, etc), elle peut être consultée par des gens de votre communauté, de votre région, de votre pays….Et même par des internautes d’un autre continent…

L’exposition en ligne peut mener à de nouvelles pistes de recherche. Comme je l’ai expliqué précédemment, une exposition virtuelle permet de faire connaître au grand public des items et des connaissances historiques qui n’ont pas nécessairement pu avoir une grande diffusion. Cela peut avoir pour résultat d’inspirer un étudiant pour son mémoire de maîtrise, un historien pour un article de revue, un citoyen pour une lettre ouverte à un journal, etc…

L’exposition virtuelle permet de bonifier le contenu d’un site web. Si un site ne contient qu’un bref paragraphe de présentation d’un organisme ainsi que ses coordonnées, ce n’est pas suffisant pour que l’internaute s’y attarde et qu’il ait envie de revenir.

On retrouve des photographies issues de la collection du musée McCord sur Flickr

Comment créer une exposition virtuelle?

Vous pouvez, si vous en avez les moyens, faire appel à une compagnie qui se spécialise dans la création de sites internet. Sinon, ne paniquez pas, il y a d’autres options, moins onéreuses et parfois gratuites, qui s’offrent à vous.

  1. Stage. Plusieurs établissements d’enseignement offrent des formations qui comprennent la création de sites web. La création d’une exposition virtuelle pourrait faire l’objet d’un stage et venir enrichir le cv d’un élève. L’exposition pourra être intégrée à un site internet déjà existant.
  2. Bénévolat. Enrôlez une personne qui a des connaissances en création et en promotion de site web.
  3. Flickr. Flickr est un service qui vous permet d’afficher gratuitement jusqu’à 200 photos. Vous pouvez commenter ces photos et ajouter des mots-clés. Ainsi, vous pouvez ajouter des informations qui permettront de mieux comprendre l’objet/ le moment représenté. Le public peut commenter les photos, après inscription. Vous pouvez rendre disponibles les photos en plusieurs formats et les désigner comme étant libre de droit pour un usage éducatif, par exemple. L’utilisation de ce site ne requiert pas de compétences informatiques compliquées. Un album photo se voit attribuer une adresse web qui sera valide tant que votre compte existera.
  4. Facebook. Facebook vous permet de placer en ligne un nombre illimité (à ma connaissance) de photographies. Il n’y a qu’un seul format d’affichage. Les gens peuvent commenter, après inscription. Partager un album de photos avec d’autres abonnés Facebook est simple.
  5. Musée virtuel du Canada. Ce site est réservé aux établissements membres, principalement des musées. On y retrouve des galeries d’images ainsi que des expositions plus élaborées. Malheureusement, il y a peu d’informations sur le site. Adresses: http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/description_mvc-about_vmc/index-fra.jsp et http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/index-fra.jsp

Conclusion

Grâce aux expositions virtuelles, l’internaute a accès à des pans de l’histoire de la ville de Québec, de Montréal, du Kamouraska et de bien d’autres endroits au Québec. Monter une exposition virtuelle n’a pas à être compliqué et coûteux. Plusieurs outils peu coûteux sont disponibles. Mais surtout, une exposition virtuelle doit être vue! C’est pourquoi je vais continuer, au cours des prochaines semaines et mois, sur ce blogue et sur Twitter, à vous entretenir des expositions virtuelles consacrées à l’histoire du Québec.

Billets reliés:

Facebook: Liste des organismes québécois de diffusion de l’histoire et du patrimoine

Les organismes de diffusion de l’histoire et du patrimoine utilisent de plus en plus le web pour se faire connaître. Beaucoup ont un site web où elles indiquent leur mission, les services offerts et leurs coordonnées. Certains font le saut du côté des médias sociaux: Twitter, Facebook, etc. Pour le moment, Facebook est l’outil que ces organismes utilisent le  plus. On y retrouve des revues, des musées, des sociétés d’histoire et de généalogie et divers pages d’intérêt.

Merci de me signaler les liens brisés ou les organismes manquants.

Mise à jour: 2 mai 2018

01. Bas-Saint-Laurent

Centre d’archives de Rivière-du-Loup

Société de généalogie et d’histoire de Rimouski

Musée du Bas-Saint-Laurent

Laboratoire de patrimoine et d’archéologie, UQAR

Musée régional du Kamouraska

Musée de la Grange octogonale Adolphe-Gagnon

Société d’histoire et de généalogie de Matane

Héritage Témiscouata

Fort Ingall – Société d’Histoire et d’Archéologie du Témiscouata

Patrimoine rural Ruralys

Centre de mise en valeur des Opérations Dignité (COD)

Société d’histoire et de généalogie de La Matapédia

Manoir Seigneurial Fraser

Société rimouskoise du patrimoine

Musée régional de Rimouski

Site historique maritime de la Pointe-au-Père (page officielle)

Projet PATER (patrimoine, enseignement, recherche)

Archives de la Côte-du-Sud

Musée Francois-Pilote

Musée du Témiscouata

02. Saguenay-Lac-St-Jean

Musée du Fjord

Musée du fromage cheddar de Saint-Prime

Réseau muséal et patrimonial du Saguenay-Lac-St-Jean

Centre d’histoire Sir-William-Price

La Pulperie de Chicoutimi / musée régional

Société d’histoire Domaine-du-Roy

Société d’histoire et de généalogie Maria-Chapdelaine

Société de généalogie du Saguenay

Musée de la Défense aérienne

Centre Historique des Soeurs de Notre-Dame-du-Bon-Conseil

03. Capitale-Nationale

Encyclopédie du patrimoine culturel de l’Amérique française

Inventaire des ressources ethnologiques du patrimoine immatériel (IREPI)

Centre de valorisation du patrimoine vivant « ès TRAD »

Goélette Grosse Île et notre patrimoine maritime!

Société d’art et d’histoire de Beauport

Société d’histoire de la Haute-Saint-Charles (Loretteville)

Société historique de Québec

Musée de la Civilisation

Société historique du Cap-Rouge

Musée Huron-Wendat

Société d’histoire de Charlevoix

Musée naval de Québec

Morrin Centre (Literary and Historical Society of Quebec)

78th Fraser Highlanders, Fort St.Andrew’s

Musée de Charlevoix

Musée maritime de Charlevoix

Espace muséal des Petites Franciscaines de Marie

Société d’histoire forestière du Québec

Société historique de Limoilou

Magazine Continuité

Cap-aux-Diamants

Archives et histoire de l’Assemblée nationale du Québec

Conseil québécois du patrimoine vivant

Société du patrimoine politique du Québec

Centre d’interprétation de la vie urbaine

Commission de la capitale nationale du Québec

Musée des Ursulines de Québec

Citadelle de Québec – Musée Royal 22e Régiment

Musée du Fort

Société d’histoire de Sillery

Société québécoise d’histoire de la pharmacie

Plaines d’Abraham

Société de généalogie de Québec

Les éditions du Septentrion

Société d’histoire In Memoriam (Pan-Québec)

Société d’histoire de la Côte de Beaupré et de l’Île d’Orléans

Société d’Histoire Les Rivières

Action Patrimoine

Centre d’archives régional de Portneuf

04. Mauricie

Patrimoine de Trois-Rivières 

Musée québécois de culture populaire

Appartenance Mauricie: société d’histoire régionale

Musée des Ursulines de Trois-Rivières

Site historique Vieille prison de Trois-Rivières

Musée des religions du monde

Boréalis, centre d’histoire de l’Industrie

Mediat-Muse

Société d’histoire et de généalogie de Louiseville

Société d’histoire et de généalogie de Shawinigan

Archives du Séminaire Saint-Joseph de Trois-Rivières

05. Estrie

La Société d’histoire de Sherbrooke

Musée des communications et d’histoire de Sutton

Musée Beaulne de Coaticook

Musée J. Armand Bombardier

Centre de recherche des Cantons-de-l’est / Eastern Townships Resource Centre

Centre d’interprétation de l’ardoise

Société d’histoire de Magog

Musée Colby-Curtis / Société historique de Stanstead

Société d’histoire de Weedon

Société d’histoire de Coaticook

Centre d’archives Mgr-Antoine-Racine

06. Montréal

Amis et propriétaires de maisons anciennes du Québec

Musée des maîtres et artisans du Québec

Archives de Montréal

Quebec Family History Society

Centre d’histoire de Montréal

Musée Marguerite-Bourgeoys

Musées Montréal

Musée commémoratif de l’Holocauste à Montréal

Musée des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal

Musée du Château de Ramezay

Musée McCord

Lieux de patrimoine religieux montréalais

Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Centre historique des Soeurs de Sainte-Anne

Maison Saint-Gabriel, musée et site historique

Héritage Montréal 

Atelier d’histoire Hochelaga-Maisonneuve

Société historique de Montréal

Eco-musée de l’au-delà

Société d’histoire de Pointe-Saint-Charles

Musée Dufresne-Nincheri

Musée Dorval

Montreal History Group/Groupe d’histoire de Montréal

Fondation Lionel-Groulx

Association québécoise pour le patrimoine industriel

Centre for Oral History and Digital Storytelling

Société d’histoire Rosemont-Petite-Patrie

Institut d’histoire de l’Amérique française

Lost Stories / Histoires Retrouvées

Dans les archives du Québec

Société d’histoire de Lachine

Société historique de Saint-Henri

Société d’histoire de St-Paul-Émard

Musée de Lachine

07. Outaouais

Réseau du patrimoine gatinois

Société d’histoire de Buckingham / Buckingham Historical Society

08. Abitibi-Témiscamingue

Société d’art et du patrimoine de la région de La Sarre

La Société d’histoire et de généalogie de Val-d’Or

Société d’histoire du Téminscamingue

Société d’histoire d’Amos

Société d’histoire de Senneterre

Société d’histoire et de généalogie de Sainte-Germaine-Boulé

Société d’histoire de Malartic

09. Côte-Nord

Généalogie Côte-Nord

Société historique de la Côte-Nord

Centre national des naufrages du Saint-Laurent

10. Nord-du-Québec

Société d’histoire régionale de Chibougamau

11. Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine

Musée de la Neufve-France

Réseau muséal et patrimonial de la Gaspésie

Musée de la Gaspésie

Musée acadien du Québec

Comité de la Grave site historique

Centre d’archives régional des Îles

Société d’histoire de la Haute-Gaspésie

12. Chaudière-Appalaches

Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis

Maison Pierre Lacroix

Maison natale de Louis Fréchette

Société patrimoine et histoire des seigneuries de Lotbinière

Société d’histoire régionale de Lévis

Musée de la mémoire vivante de St-Jean-Port-Joli

Seigneurie des Aulnaies

Musée de la sculpture sur bois des Anciens Canadiens de St-Jean-Port-Joli

LHN de la Maison sir Étienne-Paschal-Taché

Domaine Joly-De Lotbinière

Société d’histoire de Montmagny

Musée maritime du Québec – Capitaine J.E. Bernier

Marie-Josephte Corriveau, dite La Corriveau

Histoire du Québec et de ses régions avec l’historien Yves Hébert

Société de généalogie et d’histoire de la région de Thetford Mines

Société historique de Saint-Côme de Linière

Société du patrimoine Standon

Société du patrimoine de Sainte-Claire

Société historique Beauce-Sartigan

Société historique de Bellechasse

Société du patrimoine de Saint-Magloire

13. Laval

Société d’histoire et de généalogie de l’Ile-Jésus

Centre d’archives de Laval

14. Lanaudière

Société d’histoire de la région de Terrebonne

Société d’histoire de Joliette – De Lanaudière

Maison d’histoire de Terrebonne

La société d’histoire et du patrimoine de Saint-Lin-Laurentides

Centre du patrimoine vivant de Lanaudière

CRAPO Lanaudière

Association des artisans de ceinture fléchée de Lanaudière

Les petits pas Jacadiens

Ile des Moulins

Comité Patrimoine de Mandeville

Société d’histoire de Lanoraie

Société patrimoine et histoire de l’île Bizard et Sainte-Geneviève

15. Laurentides

Notre-Dame-des-Laurentides

Société d’histoire de la Repousse (municipalités de Saint-Faustin-Lac-Carré et de Lac-Supérieur).

Société d’histoire des Hautes-Laurentides

Société d’histoire de Rivière-Rouge

16. Montérégie

Musée du costume et du textile du Québec

Société du patrimoine religieux du diocèse de Saint-Hyacinthe

Musée de société des Deux-Rives

Société d’histoire et de généalogie de Salaberry

Société d’histoire de la Haute-Yamaska

Musée des Abénakis

Société d’histoire de Longueuil (pas de mise à jour depuis 2012)

Société d’histoire du Haut-Richelieu

Société d’histoire de Belœil-Mont-Saint-Hilaire

Réseau des musées de la Montérégie

Société historique Pierre-de-Saurel

La Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine

Société historique Saint-Anicet

Société du patrimoine et de l’histoire de Mercier

Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe

Société du Patrimoine de Sainte-Brigide

Société du patrimoine de Sainte-Martine
Société du patrimoine et de l’histoire de Mercier

Société historique du Marigot 

17. Centre-du-Québec

Société d’histoire de Drummond

Musée des religions du Monde

Lieu historique national Maison Wilfrid-Laurier / Musée Laurier

Société d’histoire de Warwick

Société d’histoire et de généalogie de Victoriaville

Billets reliés:

J’ai la mémoire qui tourne (site web de l’émission à Historia)

Il y a quelques temps Historia, une chaîne de télé québécoise spécialisée en histoire, lançait un appel au public pour trouver des films de familles tournés en 1920 et 1989. Ces films allaient constituer le matériel de base pour l’émission  »J’ai la mémoire qui tourne » diffusée dès août 2009. Je vais vous présenter aujourd’hui le site web de cette émission.

memoire

Les films

On retrouve énormément de contenu vidéo sur le site de J’ai la mémoire qui tourne. Il y a des vidéos amateurs tournés à Québec, à Roberval, Rivière-du-Loup, Chicoutimi, Percé, Montréal, donc un peu partout à travers le Québec.

Il y a des webépisodes dont une qui porte sur Maurice Richard, commentée par Ron Fournier.

Le blogue

Le blogue de l’émission est rédigé par Sylvain Cormier, Marie Brunette, Yanic Viau, Marie-Michèle Tremblay, Eric Ruel et Guylaine Maroist. Ces billets donne des informations sur les vidéos: dans quelles circonstances ils sont été réalisés, dans quel contexte historique, etc. Comme quoi même les films de famille recèlent d’informations sur l’histoire du Québec!

Il manque quelques fois un lien vers le vidéo dont il est question dans le billet.

Web collaboratif

Le public est invité à enrichir le contenu de ce site web et ce, de plusieurs façons. En s’inscrivant (gratuitement), on peut téléverser des films issus de nos archives familiales, commenter et ajouter des tags (mots-clés) décrivant les films en ligne. On peut créer une liste de nos films préférés ou les partager via les médias sociaux (Facebook, Twitter, Delicioux, Digg, etc) ou par courriel.

La prochaine série de J’ai la mémoire qui tourne sera présentée à l’automne 2010.

On peut aussi suivre  »J’ai la mémoire qui tourne » via Facebook.

Le premier épisode de la série peut être visionné en cliquant ici.

En somme, cela vaut la peine d’être un visiteur régulier de ce site et d’y contribuer!

Adresse: http://jailamemoirequitourne.historiatv.com/accueil

Billet relié: