Créer un album virtuel avec les oeuvres du Musée des Beaux-arts du Canada

Note: le site du Musée des beaux-arts du Canada a subit une refonte depuis la rédaction de ce billet.

Le Musée des beaux-arts du Canada, via son site Cybermuse, permet aux internautes, après inscription, de créer un album regroupant leurs oeuvres préférées.

Plus de 20 000 oeuvres ont été numérisées.

The Passing Storm, Saint-Ferréol, 1854, Cornelius Krieghoff

Cybermuse ne permet de créer qu’un album, mais il ne semble pas y avoir de limites quant au nombre d’images que l’on peut sélectionner.

On peut commenter les images, changer leur ordre d’apparition, déterminer le nombre d’image qui s’affichera sur chaque page ainsi que la couleur du texte et de l’arrière-plan de l’album.

L’album est présenté sous forme de vignettes. Vous cliquez pour agrandir et obtenir les informations concernant l’oeuvre qui vous intéresse. Une fois l’album complété, on peut le partager par courriel.

J’ai créé un album mettent en vedette le Québec, album constitué d’oeuvres des artistes suivants: André Biéler, Horatio Walker, Marc Aurèle de Foy Suzor-Côté, Cornelius Krieghoff, Joseph Légaré, François Baillairgé, Georges Heriot, Robert C. Todd, Henri Julien, Antoine Plamondon, Clarence Gagnon, Ozias Leduc, Marc-Aurèle Fortin, etc. La période couverte est celle entre 1750 et 1930 environ.

Adresse: http://www.beaux-arts.ca/fr/index.php

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André Biéler, peintre de la ruralité québécoise (1896-1989)

En lisant le livre de Michel Lessard intitulé L’Ile d’Orléans, Aux sources du peuple québécois et de l’Amérique française, j’ai découvert une partie de l’oeuvre du peintre André Biéler. Biéler a peint l’Ile d’Orléans des années 20. Il a aussi représenté sur la toile d’autres régions du Québec durant les années 20 et 30. C’est à cette période que nous allons plus particulièrement nous intéresser.

Biographie

André Biéler est né le 8 octobre 1896 à Lausanne, Suisse. Sa famille déménage en 1898 à Paris, puis en 1912 à Montréal. Il étudie à l’Institut technique de Montréal et participe à la Première Guerre mondiale.

Ayant été gazé lors de la bataille de Passchendaele et ayant subit d’importantes blessures à la guerre, André Biéler entreprend sa convalescence en Floride en 1919. Il y prend des leçons d’art. Il étudie ensuite à la Art Students League de New York.

Entre 1922 et 1926, il vit en Suisse. Son oncle, le peintre et muraliste Ernest Biéler, l’aide à perfectionner son art. Durant cette période, Biéler séjourne à Paris et étudie à l’Académie Ranson.

En 1924, il expose à l’Art Association of Montreal. Il s’agit de sa première exposition solo.

En 1927, il habite brièvement à Tourville, puis pour une période de trois ans (1927-1930), il habite à Sainte-Famille, Ile d’Orléans. Plusieurs de ses tableaux représentent l’ile. Il crée des gravures représentant la ville de Québec. Durant les années 30, Biéler peint à Montréal, Charlevoix, en Gaspésie et dans les Laurentides.

En 1936, il devient professeur d’art et artiste résidant l’Université Queen’s à Kingston, Ontario.

En 1941, il organise la première Conférence des artistes canadiens, ce qui mènera à la création de la Fédération canadienne des artistes. Biéler en sera le premier président. En 1945, il séjourne au Lac- Saint-Jean et en 1952 en Abitibi. En 1948, il peint une murale à la centrale hydroélectrique de Shipshaw à Arvida.

En 1957, il participe à la fondation de Agnes Etherington Art Centre. Il en est le président de 1957 à 1963.

André Biéler prend sa retraite en 1963. Il visite le Mexique l’année suivante. Il est décédé le 1er décembre 1989 à Kingston, en Ontario.

Honneurs

Une rue porte son nom à Sainte-Famille, Ile d’Orléans. Il a reçu de nombreux honneurs durant sa carrière. Il a été élu membre de l’Académie royale des arts du Canada en 1955, a reçu le Prix J. W. L. Forster en 1957 de l’Ontario Society of Artists, la Médaille du centenaire du Canada et l’Ordre du Canada en 1988. L’Université de Lausanne lui a décerné un doctorat honorifique.

Style et thèmes

Ses thèmes de prédilections: le quotidien du peuple, la vie religieuse (les églises) et les paysages. Il a utilisé la gravure sur bois, l’aquarelle, le fusain, la tempera, le pochoir et a réalisé des huiles sur toile et sur panneau.

Les premières œuvres de Biéler sont largement influencées par les enseignements de son oncle Ernest; elles traduisent la minutie dans le dessin et le souci de la forme nécessaires au travail du vitrail, de la mosaïque et de la fresque. À partir du moment où il s’est installé à l’île d’Orléans jusqu’en 1947, il a été un régionaliste moderniste, réussissant à combiner son amour de la forme à celui des sujets humains. (Réf)

En dépit de son éducation protestante, Biéler se consacre entièrement à évoquer le style de vie très catholique de la petite communauté en peignant les églises, ainsi que les cérémonies et processions religieuses. La même fascination envers la ferveur religieuse se manifeste dans les tableaux du Mexique qu’il peint au cours des années soixante.  (Réf. n’est plus en ligne)

Dans cette vieille maison (à Sainte-Famille, Ile d’Orléans) qui constituait un lien direct avec l’un des peuples fondateurs du Canada, Biéler commença à dépeindre la vie des habitants et leurs rituels, suivant le rythme lent de leurs travaux et de leur île, dans la beauté  de leurs vieilles maisons, bâties en pierre ou en bois par leurs ancêtres.  L’expression est franche, le réalisme est tempéré par le lyrisme […] (Réf. Frances K.Smith, p. 94).

André Biéler était attiré vers les personnes vivant en harmonie avec la terre et leur folklore, leurs superstitions, leurs symboles et leurs rites.  Il fit facilement la transition vers les riches traditions des habitants de Québec auxquelles son interprétation artistique donna une vision nouvelle. (Réf. Frances K.Smith, p. 95).

Conclusion

André Biéler a immortalisé avec sa palette le Québec rural et urbain des années 20 et 30. Ses peintures nous renseignent sur les us et coutumes des petites gens, sur la richesse du patrimoine naturel et bâti du Québec…

Galerie

On peut voir plusieurs oeuvres d’André Biéler sur cybermuse.

Complément

Sur le site du Musée des Beaux-Arts du Canada, on peut entendre une entrevue (en anglais) avec André Biéler (durée 2h10 min.). La transcription en français et de l’entrevue est par contre disponible.

Un documentaire sur André Biéler, les Couleurs du sang (2000), a été tourné par son petit-fils Philippe Baylaucq.

Webographie

Wikipédia [En ligne]André Bieler [Page consultée le 11 avril ]Adresse URL: http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Bi%C3%A9ler_%28peintre%29

Cybermuse [En ligne] Biographie: André Biéler [Page consultée le 11 avril] Adresse URL:

http://cybermuse.gallery.ca/cybermuse/enthusiast/thirties/artist_f.jsp?iartistid=512

Presses de l’Université Laval [En ligne] André Biéler: un artiste et son époque [Page consultée le 11 avril]

Philippe Baylaucq [n’est plus en ligne] Les couleurs du sang, dossier de presse [Page consultée le 11 avril]

Bibliographie

KAREL, David. André Biéler ou le choc des cultures. Presses de l’Université Laval, Sainte-Foy, 2003, 209 pages.

SMITH, Frances K. André Biéler, un artiste et son époque. Presses de l’Université Laval, Sainte-Foy, 2006, 356 pages.

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Le Canadian Illustrated News: images du 19e siècle

Le Canadian Illustrated News est un magazine publié à Montréal par Georges Desbarats entre 1869 et 1883. Son pendant francophone était l’Opinion publique. Certaines gravures étaient publiées dans les deux magazines.

Chaque livraison comportait en moyenne 40 % d’illustrations et son contenu était regroupé sous les rubriques suivantes : annonces, nouvelles nationales et internationales, chroniques littéraires, scientifiques et artistiques, chroniques parlementaires, reportages sur le commerce, l’agriculture et l’industrie, la page familiale, le roman-feuilleton.  (Réf.)

Voici une liste partielle d’artistes qui ont contribué au Canadian Illustrated News: Henri Julien, Eugene Haberer, A. Leroux, William Carlisle, Edward Jump, I. J. Pranishnikoff, John Wilson Bengough et John Henry Walker . Aussi,

Certaines lithographies qui y sont publiées sont produites à partir de photographies. On y retrouve notamment celles de William Notman. (Réf.)

Bibliothèque et Archives du Canada et Bibliothèque et Archives nationales du Québec ont mis en ligne des exemplaires numérisés du Canadian Illustrated News.

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Journaux francophones du Canada (1808-1919)

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Musée virtuel du Canada

Collection numérique de BANQ: les journaux du 19e et 20e siècle

Bibliothèque et archives nationales du Québec ont mis en ligne environ 70 journaux du 19e et du 20e siècle dont la Minerve, le Quebec chronicle, le Journal des Campagne, le Canadien, le Canada, l’Action, catholique, Canadian Illustrated News, etc

Chaque journal dispose d’un texte de présentation. L’interface nous permet de voir les années, mois et jours de publication du journal en question. Lorsqu’on sélectionne une édition, une petite vignette nous donne un aperçu de la une. Il y a trois modes d’affichages: plein écran, feuilleter la publication et afficher les pages en conséquences. Ce dernier mode vous fait voir des vignettes de toutes les pages du journal. Chaque mode d’affichage permet d’agrandir et de rapetisser la page, afficher des vignettes, imprimer la page, etc. A vous de voir ce qui répond le mieux à vos besoins.

On peut télécharger chaque page, mais pas une édition au complet. Vous ne pouvez pas faire une recherche à l’intérieur du texte à partir de l’interface (sauf quelques exceptions).

En somme, une collection numérique à consulter!

Adresse URL: Adresse: http://www.banq.qc.ca/…

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Images anciennes du Canada: illustrations tirées de livres rares

early_images_canadaLe site web Images anciennes du Canada: illustrations tirées de livres rares est une initiative de Bibliothèque et archives Canada. Il contient 550 images (surtout des gravures) provenant de récits de missionnaires ou de voyages publiés avant 1800. Les images sont classées par thème et par ouvrage. Parmi les illustrations numérisées, on retrouve celles de Histoire et description generale de la Nouvelle France […] par Pierre-François-Xavier Charlevoix et Les voyages du sieur de Champlain Xaintongeois, capitaine ordinaire pour le Roy, en la marine de Samuel de Champlain.

Comme vous pourrez le constater, certaines images ont des airs de famille. On parle ici de retirages et de variantes. Voir la section A propos du site pour plus d’explications.

Il est intéressant de voir comment les explorateurs et les missionnaires percevaient leur environnement. Certaines illustrations font sourire car elles sont un peu – beaucoup- éloignées de la réalité.

Ce site plaira à ceux qui s’intéressent aux livres anciens et à l’histoire des débuts de la colonisation européenne en Amérique du Nord.

Adresse: http://www.collectionscanada.gc.ca/imagesanciennes/

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Analyser une image – conseils

Lorsqu’on regarde une image, on recueille de l’information. « Une image vaut mille mots » comme le dit si bien le proverbe. Comment analyser une image? L’idéal est de disposer d’une grille à compléter avec les informations pertinentes. En voici un exemple.

Grille d’analyse
(inspirée de Laurent Gervereau. Voir, comprendre, Analyser les images. Paris, La Découverte, 1996, 185 pages.)
Description de l’oeuvre
Auteur
Date de production et de publication
Type de support et technique utilisée pour la création
Rapport entre le texte de l’ouvrage et les illustrations, entre l’auteur et l’artiste.

Le style
Décrivez le style. Peut-on rattacher l’oeuvre à une école particulière? Impressionniste, réaliste, etc.

Étude du contexte
Qui l’a réalisée et quel rapport avec son histoire personnelle?·
Qui l’a commanditée et quel rapport avec son histoire personnelle?
Réalisée en vue de quel public?
Retracer les différentes publications de l’oeuvre.
Quelles ont été les réactions à cette oeuvre lorsqu’elle a été rendue publique?
Comment cette oeuvre a-t-elle été analysée au cours des ans?

Interprétation
Le ou les créateurs de l’image ont-ils suggéré une interprétation en y associant un titre, une légende?
Est-ce que l’examen de l’image suggère une message particulier sur la pauvreté consciente ou inconsciente?

Bilan et appréciation personnelle
En fonction des éléments relevés dans la description, l’étude du contexte, l’inventaire d’interprétations étagées dans le temps, quel bilan général en déduisons-nous?
Quelle appréciation avez-vous de cette oeuvre?

Il est possible que l’on ne puisse pas répondre à toutes ces questions. Par contre, tout le monde peut décrire une image. Voici comment procéder, comment observer une image.

Une image contient beaucoup d’information. On peut faire ressortir ces informations:
-En comparant notre image avec une autre image. On fait ressortir les différences entre ces deux illustrations
-En séparant en quatre notre image, on décrit une section de l’image à la fois, en allant dans le sens des aiguilles d’une montre.
-S’assurer d’avoir un éclairage adéquat, ni trop fort, ni trop faible, sur l’écran ou, si l’image a été imprimée, sur l’image imprimée.
-Une loupe n’est jamais de trop pour agrandir les détails!

Attardons-nous maintenant à la cueillette d’information. Voici quelques éléments à regarder de plus près dans notre image.

Les personnes

Éléments à regarder
-Actions des personnes, rôle de chaque personne, liens entre les personnes (parenté, couple), etc
-Habillement et coiffure (apparence de la personne)
-Language corporel des personnes représentées: désespoir, colère, angoisse.
-Quel événement est représenté?
Questions à se poser
-Peut-on connaître le statut de/des personnes sur la photo, leurs niveaux de richesse, statut social, métier?
-Vers quelle direction regardent les gens? Pourquoi?

L’espace/ le temps

Éléments à regarder
-Lieu géographique
-États des lieux (propre, sale, etc)
-Jusqu’à quel point l’espace est-il rempli? Rapport vide-plein dans l’image.
-Position des personnages dans l’espace représenté
-Accessoires et objets (apparence, fonction, emplacement)
-Éclairage (d’où vient-il, intensité)

Questions à se poser
-Quelle est la fonction de ce lieu?
-Y a-t-il quelque chose d’absent, qui sort de l’ordinaire?
-Quel moment de la journée, de l’année? (Nuit ou jour, saison)

Technique/style

– Le cadrage a-t-il pour effet de couper artificiellement la scène comme ici et pourquoi?
-Comment les différents éléments de la photographie sont-ils reliés (espaces sombres/clairs, arrière-plan/avant-plan)?
-De quel point de vue l’image est-elle captée? Où est le photographe/artiste?
-Décrire les angles de prise de vue.
-Le créateur a-t-il été aidé? (Par exemple, Jacob Riis était accompagné de la police lorsqu’il prenait des photos dans les taudis de New York).
-Si le nom de l’artiste n’est pas écrit sur l’oeuvre, peut-on le deviner? (par le style de l’image, par exemple)
-Le photographe a-t-il provoqué ce qui se passe dans la photo? Les personnes semblent-elles adoptées des poses suggérées par le photographe/artiste?

Autres éléments

-Dans quel contexte historique s’insère cette image?
-Valeurs véhiculées par l’image
-En regardant l’image, qu’est-ce qui a attiré votre attention en premier. Et après?
-Quel titre donneriez-vous à un essai interprétatif de cette photo?
-Est-ce que le titre, tel que donné dans l’ouvrage, convient à l’image?
-Y a-t-il présence de symboles dans l’images?
-Le même lieu, objet ou personne sont-ils représentés dans plus d’une image?
-Les ouvrages concernés offrent-ils une interprétation de la pauvreté qui peut influencer votre compréhension des images?
-Est-ce qu’il y a des aspects de la photo/image qui ne sont pas expliqués par le texte ou par le titre de la photo ou de l’image?

En somme, il faut observer et bien comprendre le contexte de production de l’image étudiée. Il faut demeurer critique en tout temps.

Références:

Logiciel Documentary Photography: Jacob Riis. Réalisé par Douglas Tallack, University of Nottingham.

Laurent Gervereau. Voir, comprendre, Analyser les images. Paris, La Découverte, 1996, p.89-90.

Rudolf Wittkower . La migration des symboles. Paris, Thames & Hudson, 1992, 105 pages

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Banque d’images en Univers social

Le Service national du RÉCIT de l’univers social a mis en ligne une banque d’images libres de droit dans un contexte éducatif (voir licence) touchant à la géographie, l’histoire et l’éducation à la citoyenneté. Les images sont classées parmi les catégories suivantes: la préhistoire, histoire du monde, histoire du Québec, histoire des civilisations, temps vécu, géographie et pictogrammes.

Les images sont de belle qualité. On retrouve des photographies en noir et blanc, comme des cartes géographiques et des dessins.

recitushistoire_sociale

On nous suggère aussi d’autres banques d’images sur internet.

Ce site fera le bonheur des enseignants et des étudiants qui recherchent des images pour un projet pédagogique.

Adresse: http://images.recitus.qc.ca/main.php

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Le Québec en images (Le monde en images)

Le Centre collégial de développement en matériel didactique (CCDMD) a mis en ligne il y a quelques années une superbe banque d’images sur le Québec, le Québec en images. Ces images ont été depuis intégrées au site Le monde en images. Ces images sont libres de droit, sous certaines conditions.

La banque d’images regroupe des milliers de photographies sur des sujets variés: paysages, constructions, société, personnages, événements, faune, flore et minéraux. Toutes les régions du Québec sont représentées. Pour vous donner un exemple de la richesse du Québec en images, si on tape le mot-clé  »Kamouraska », on obtient 179 images. 4311 images sont associées à Montréal et 145 images à Chambly.

Chaque image est accompagnée d’une brève description (lieu, auteur, année de création, donateur) et peut être téléchargée en trois résolutions: 300 ppp (ou plus), 150 ppp et 72 ppp.

On peut créer un album et le partager avec le public.

Une fonction permet d’envoyer une carte postale à partir de la photo de son choix. On peut aussi rassembler, après enregistrement (gratuit), ses photos préférées dans un album personnalisé.

Le moteur de recherche permet de faire une recherche par mot-clé, date, catégorie, région, couleur et orientation.

Signalons qu’il y a un nombre appréciable de photographies en noir et blanc.

Les amateurs de photographie, les enseignants et le grand public apprécieront Le monde en images.

Adresse internet: http://monde.ccdmd.qc.ca/

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