Suggestions de lecture #vendredHist

Chaque vendredi, je partage sur Twitter (https://twitter.com/vickylapointe) mes lectures du moment. Certains de ces livres nous éclairent sur des aspects de l’histoire du Québec et des francophones d’Amérique du Nord, d’autres nous font voyager en Europe et aux États-Unis. Ces publications sont identifiées par les mots-clics #vendredilecture et #vendredhist. Voici la liste des livres lus ou en cours de lecture depuis le 20 novembre 2016.

Bonne lecture!

25 novembre 2016: Les danseurs fous de Strasbourg Une épidémie de transe collective en 1518 par John Waller (Nuée Bleue, 2016). Présentation de l’éditeur.  Il s’agit d’un épisode fascinant de l’histoire européenne. Pendant plusieurs mois, on a pu voir dans les rues de Strasbourg des danseurs en transe. Ils dansaient toute la journée, ne se reposant un peu que pour dormir. Et recommençaient le jour suivant. Certains en sont même morts.  Comment expliquer ce phénomène? Plusieurs illustrations complètent ce passionnant livre.

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30 décembre 2016: You must remember this : an oral history of Manhattan par Jeff Kisseloff, publié en 1990 par les éditions Schocken. Ce livre est une collection de témoignages de la vie à New York des années 1890 à la seconde Guerre mondiale. Les témoignages sont regroupés par quartiers puis par intervenants. On passe d’un sujet à l’autre sans transition, ce qui est un irritant en début de lecture, mais en général, il s’agit d’une lecture très instructive sur le New York d’antan. J’ai aimé qu’on laisse la parole à des New Yorkais de tous les horizons.

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10 février 2017. Olivar Asselin et son temps par Hélène Pelletier-Baillargeon, premier tome. (Fides, 1996). Ce premier tome de cette trilogie est une bonne brique, plus de 750 pages. Mais ça vaut le coup d’y consacrer plusieurs heures. Un livre qui retrace brillamment le parcours du journaliste et militant Olivar Asselin, un homme qui ne se laissait pas marcher sur les pieds! Natif de St-Hilarion (Charlevoix), Olivar Asselin s’est exilé avec sa famille en Nouvelle-Angleterre, où il a travaillé un peu dans les manufactures. Il a connu une carrière intéressante dans plusieurs journaux franco-américains, dont Protecteur de Fall River, le National de Lowell et la Tribune de Woonsocket. Il a participé à la guerre hispano cubaine avant de revenir au Québec, où il s’est marié, a fondé le journal Le Nationaliste, milité aux côtés d’Henri Bourassa, collaboré à plusieurs journaux, a été élu président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, et j’en passe. Une vie bien remplie.

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24 février 2017. Les Voix d’outre-tombe Tables tournantes, spiritisme et société au XIXe s. Guillaume Cuchet. Résumé de l’éditeur.

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3 mars 2017. La Rochelle-Québec Embarquement pour la Nouvelle-France, Centre des monuments nationaux.  Présentation de l’éditeur.

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7 avril 2017. Histoire des mineurs du Nord ontarien et québécois par Guy Gaudreau (Septentrion, 2003) et Les Montréalais, Portraits d’une histoire par Jean-François Nadeau  (Les Éditions de l’Homme, 2017). Le prix de Les Montréalais pourra en faire sursauter quelques-uns (125,00$), mais il faut souligner que l’impression a été faite au Québec (en Beauce plus précisément) et qu’il s’agit d’un ouvrage de qualité, tant à cause du choix des images que des textes.

Suggestions de lecture: 26 août au 14 octobre 2016 #histoire

Bon dimanche à tous!

Chaque vendredi, je partage sur Twitter (https://twitter.com/vickylapointe) mes lectures du moment ayant un lien avec l’histoire du Québec et des francophones d’Amérique du Nord. Ces publications sont identifiées par les mots-clics #vendredilecture et #vendredhist. Voici la liste des livres lus depuis le 26 août 2016.

Que lisez-vous en ce moment? Je ne lis pas beaucoup de romans ces temps-ci, mais j’ai adoré Station Eleven d’Emily St. John Mandel (Alto).

Vicky Lapointe

26 août 2016

La Ruée vers le Sud Migrations du Canada vers les États-Unis 1840-1930 par Bruno Ramirez avec la collaboration d’Yves Otis (Boréal).

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3 septembre 2016

La francophonie nord-américaine : bilan historiographique (collectif)  Bulletin d’histoire politique (VLB Editeur)
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9 septembre 2016

Sous les cieux de Québec Météo et climat, 1534-1831 par Yvon Desloges (Septentrion)

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16 septembre 2016

Une histoire de la politesse au Québec Normes et déviances du XVIIe au XXe siècles sous la direction de Laurent Turcot et Thierry Nootens (Septentrion)

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23 septembre 2016

Inconquis Deux retraites françaises vers la Louisiane après 1760 par Joseph Gagné (Septentrion)

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30 septembre 2016

Pas d’histoire, les femmes ! Réflexions d’une historienne indignée par Micheline Dumont (Les éditions du remue-ménage)

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7 octobre 2016

L’histoire contemporaine à l’ère numérique dir. Frédéric Clavert et Serge Noiret.

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14 octobre 2016

Brève histoire des patriotes par Gilles Laporte (Septentrion)

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Le 12 août, j’achète un livre québécois

par Vicky Lapointe

Vendredi aura lieu la troisième édition de l’événement ‘Le 12 août, j’achète un livre québécois‘ (page Facebook de l’événement).

Pourquoi ne pas en profiter pour acheter un livre sur l’histoire et le patrimoine du Québec? Voici quelques maisons d’éditions qui publient ce genre d’ouvrages.

Maisons d’édition spécialisées en histoire et patrimoine du Québec

Maisons d’éditions qui publient des livres sur l’histoire du Québec et sur plusieurs autres sujets

Les sociétés d’histoire  et de patrimoine ainsi que les centres d’archives offrent aussi des publications qui traitent de notre histoire. Parmi celles-ci, il y a la Société d’histoire de la région de Terrebonne et la Société d’histoire de Charlevoix.

Bonne lecture!

Vicky

Une visite de la bibliothèque municipale de Montréal en 1943

La bibliothèque municipale de Montréal était située au 1210 rue Sherbrooke (auj. édifice Gaston-Miron).

La Patrie, 18 avril 1943

LA BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE DE MONTRÉAL

(textes et photos par Eugène Stucker)

[…]
Les Montréalais ont dans leur ville un monde en miniature. Pour y avoir accès, il n’est pas besoin de se déplacer outre mesure; tous peuvent l’atteindre. Il est étalé dans un bel édifice dont les portes s’ouvrent devant tous. C’est gratis pour tous et tous sont reçus avec le sourire. Si l’on y exigeait quelque chose, ce serait sans doute la promesse d’en sortir plus éclairé, plus fort, plus armé pour la vie.

[…]
L’ère des bibliothèques

Vers le milieu du siècle dernier, on constata un progrès général dans tous les domaines à Montréal. Un réveil intellectuel marcha de pair avec l’essor des affaires. On assista alors à la naissance de la première bibliothèque semi-publique, la « bibliothèque paroissiales », connue surtout comme le « cabinet de lecture paroissial ». Cette première bibliothèque pour le grand public fut créée par les MM. de Saint-Sulpice. Elle subsista jusqu’au temps où la « paroisse » se décentralisa. C’est là que l’on vit les mêmes MM. de Saint-Sulpice faire à la population de Montréal, le don de la superbe bibliothèque Saint-Sulpice, don royal qui fut si vite… oublié.

Deux étapes
[…]
Notre Société nationale ne fut pas étrangère à la création de notre institution municipale dont nous sommes si fiers aujourd’hui. C’est en effet la Société Saint-Jean-Baptiste qui offrir l’hospitalité à notre première bibliothèque municipale, en 1902. Pour lui trouver un local plus à la porte du grand nombre, on la transporta à l’Ecole technique, rue Sherbrooke. Enfin elle fut installée définitivement dans ses quartiers permanents actuels; l’inauguration en fut faite le 13 mai 1917 par le maréchal Joffre.

La bibliothèque municipale

Sur tout le parcours de cette belle artère aristocratique qu’est la rue Sherbrooke, il est peu d’édifices qui aient aussi grand style que la bibliothèque de Montréal. La métropole en est justement fière. Sa construction a été confiée à un Canadien français, M. Eugène Payette. Notre excellent compatriote n’était d’ailleurs pas à son premier essai, puisqu’il avait bâti déjà la bibliothèque St-Sulpice. Est-il besoin de dire que l’une et l’autre sont de nos plus belles oeuvres d’arts?

Dans son ensemble, la bibliothèque municipale est de style Renaissance italienne, Les colonnes du péristyle de la façade sont de style corinthien. Ces colonnes sont des monolithes (Composées d’une seule pierre). Elles sont en granit de Stanstead. La colonnade est couronnée d’une balustrade très classique. Cette façade est une évocation des plus belles visions des pays où fleurit la plus pure architecture.

Le hall d’entrée

Une double porte donne accès au grand hall d’entrée. Il occupe toute la profondeur de l’édifice, aussi bien que la hauteur de deux étages. Le revêtement du parquet, des murs et du plafond, ainsi que des colonnes et la frise de la galerie du second étage sont en marbre canadien de Missisquoi.

Au fond du hall se dresse le comptoir massif où le personnel chargé de la distribution reçoit les abonnés de la grande institution. Sur présentation des renseignements trouvés dans les catalogues, chacun est servi avec affabilité et compétence. Sur les murs du hall sont disposés les casiers du catalogue. Au centre de la place se trouve une table massive sur laquelle les clients peuvent poser les tiroirs du catalogue pour faciliter leurs recherches; ils sont censés pourtant de remettre ces tiroirs à leur place.

Au comptoir. La Patrie, 18 avril 1943.

Au comptoir. La Patrie, 18 avril 1943.

Grands noms et armoiries

Le plus grand nombre des clients de l’institution sont tellement pressés de plonger les yeux dans leurs livres qu’ils ne s’attardent pas à les lever vers ce que nous appellerions volontiers « le ciel » de la bibliothèque. il en vaut la peine pourtant puisque par lui-même il constitue un livre très éloquent.

Le plafond du hall est sectionné en vingt et un compartiments. Le fond des caissons est constitué par un vitrail représentant des armoiries. Ces armoires sont de trois sortes. Sept d’entre elles représentent les provinces françaises d’où sont venus les premiers colons canadiens: Normandie, Isle-de-France, Poitou, Aunis, Saintonge, Champagne et Bretagne. Sept représentent des personnages historiques: Champlain, Maisonneuve, Mgr de Laval, Frontenac, Marguerite Bourgeoys, Montcalm et Wolfe. Enfin une dernière série représente les sept premières provinces canadiennes: Québec, Ontario, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Ecosse, Ile-du-Prince Edouard, Colombie-Britannique et Manitoba. Ce plafond de vitraux historiques tamise une lumière discrète mais très bonne dans le grand hall. La seule lumière additionnelle qui y entre vient d’une vaste fenêtre près du comptoir.

Les colonnes de marbre qui, de la galerie du second étage, montent au plafond, portent une frise riche d’enseignement. On peut y lire les plus grands noms dans les domaines de la philosophie et des lettres: Homère, Platon, Cicéron, Dante, Shakespeare, Pascal, Molière, Milton, Corneille, Racine, Bossuet, Montesquieu, Goethe, Chateaubriand, Michelet, Macaulay, Victor Hugo, Garneau, Crémazie et Fréchette.

Salles diverses
Les goûts et les besoins de lecture ne sont pas uniformes chez les habitués de la bibliothèque. On a prévu la chose et pour répondre à tous les besoins, on a ouvert quatre salles pour autant de genres de lectures. Au premier étage, il y a, à droite en entrant, la salle des périodiques. On y trouve les journaux et les revues des deux langues, aussi bien de la ville et de la province que des autres provinces et des pays éloignés.Les revues et les journaux reçus ici sont au nombre de quelque quinze cents.

Dans la salle de consultation on peut avoir accès aux meilleurs encyclopédies et dictionnaires français, américains, canadiens, anglais, etc.

Au second étage, on trouve tout d’abord la salle des documents publics. On peut y voir les publications officielles des gouvernements canadiens et même du gouvernement américain: débats, statuts, gazettes, rapports, etc.

Enfin il y a la salle Gagnon, appelée aussi collection Gagnon. On y trouve tous les livres canadiens. C’est l’endroit idéal pour trouver les faits de notre histoire nationale, tout aussi bien que nos incunables, nos livres anciens, des manuscrits précieux, des cartes, des généalogies et des vieux journaux.

Croira-t-on que cette collection Gagnon compte 12,500 pièces? Cela nous amène à dire que dans toute la bibliothèque il y a près de 100,000 volumes.

Salles des enfants

Les joies de la lecture. La Patrie, 18 avril 1943.

Les joies de la lecture. La Patrie, 18 avril 1943.

Depuis un an une innovation très heureuses a été opérée à la bibliothèque municipale. On y a ouvert une salle spéciale pour les enfants. Ceux-ci doivent être âgés d’au moins sept ans et de pas plus de quinze. Ces jeunes doivent se procurer une carte qui leur coûte la minime somme de cinq sous tous les ans s’ils veulent emprunter des livres chez eux. Ils n’ont rien à verser pour lire dans la salle.

C’est une excellente idée d’inviter les jeunes à venir rencontrer ici leurs amis, les livres. Comme il est vrai qu’on finit par ressembler à ceux que l’on fréquente, il est facile de croire que ce centre est des plus favorables aux enfants, car on a pris soin de ne leur faire rencontrer ici que de bons s »amis ». Puis, venant ici d’abord pour y trouver des lectures joyeuses, ils arriveront par y venir pour des lectures formatrices. Les parents seraient des mieux inspirés de diriger leurs enfants vers ce foyer.

Les bibliothèques sont une nécessité

Est-il possible que les bibliothèques aient des ennemis? Les meilleures causes en ont. On prétend qu’un enseignement livresque n’est pas complet. Nous admettons qu’un enseignement « exclusivement » livresque ne peut être complet, mais nous affirmons également qu’une formation qui veut se passer des livres sera laborieuse et longue.

Que dirait-on d’un homme qui irait visiter une caverne sans se munir de puissants projecteurs? Que penserait-on d’un Canadien qui partirait pour un voyage en Europe, sans déterminer au préalable sur des cartes, les itinéraires à suivre, les lieux à visiter, les hôtels où arrêter, les villégiatures à fréquenter, etc?

Tout voyage, toute exploration, toute étude expérimentale dans un domaine quelconque sera plus rapide, plus profitable et plus agréable après une suffisante préparation dans les livres. Dans les bibliothèques on trouve des renseignements sur tous les domaines. Ces renseignements sont pratiquement indispensables à qui veut apprendre rapidement. Qu’on multiplie ces centres de formation personnelle dans notre province; qu’on porte nos jeunes à en profiter, et on verra bientôt que le niveau intellectuel des nôtres y gagnera, tout comme leur niveau économique. « 

Pour en savoir plus: Wikipédia (Édifice Gaston-Miron).

Inauguration de la bibliothèque Saint-Sulpice de Montréal [1915]

Bibliothèque Saint-Sulpice. BANQ

Bibliothèque Saint-Sulpice. Carte postale coll. Michel Bazinet. BANQ Cote CP 6380 CON

L’Action catholique, 13 septembre 1915

LA BIBLIOTHÈQUE DE SAINT-SULPICE
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ON EN FAIT HIER L’INAUGURATION EN PRÉSENCE DE NOMBREUX DIGNITAIRES RELIGIEUX ET CIVILS
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Montréal, 13 – Spéc. – Messieurs de Saint-Sulpice ont présenté, hier, au public de Montréal, la bibliothèque qu’ils ont construite à leur frais, rue S.-Denis, qu’ils ont pourvue de 80,000 volumes, sans qu’il en coûte un sou au public et qui sera entretenue de même jusqu’à la fin des temps ou, du moins, de la Compagnie fondée par M. Olier.

Mgr l’archevêque et tous ceux qui ont pris la parole se sont appliqués à marquer l’événement capital au point de vue intellectuel, que constitue l’inauguration d’une bibliothèque telle que celle qu’on inaugurait hier.

Le public montréalais a bien accueilli l’invitation des Messieurs de Saint-Sulpice et la salle des conférences était à peu près comble, quand M. l’abbé Lecoq, supérieur du Séminaire, a pris le fauteuil de la présidence.

Après les discours ont se dispersa dans l’édifice pour en inspecter l’heureuse disposition.

M. Fauteux, conservateur de la bibliothèque, exposa ensuite comment fonctionnera la bibliothèque. Elle sera ouverte tous les jours, de 9? am à 9:30 pm excepté le dimanche et les jours de fête. Comme il reste encore beaucoup à faire, la circulation des livres ne commencera que dans un mois. Par mesure de précaution, un dépôt de $2 sera exigé de ceux qui emporteront des livres hors de la bibliothèque. Sur demande, remise sera faite de l’argent.

On remarquait sur l’estrade: Mgr l’archevêque de montréal, Mgr l’évêque de Joliette, M. le supérieur de S.-Sulpice, M. le Lt-Gouverneur de la province, Sir Lomer Gouin, M. le ministre de la justice, M. le ministre des Postes, M. C.-E. Bonin, consult général de France, M. le sénateur Dandurand, M. l’échevin St-Pierre, suppléant du maire de Montréal, Mgr Dauth, Mge Lepailleur, M. le curé Labelle, MM, les juges Charbonneau, Demers, Bruneau, Chauvin, Panneton et St-Cyr, M. le Dr Boucher, M. l’échevin Dubeau, M. Ernest Marceau, M. le Dr Lachapelle, etc. etc.

L’immeuble du 1700, rue Saint-Denis, à Montréal, a été classé en 2008 monument historique par le gouvernement du Québec.

Fiche du répertoire du patrimoine culturel du Québec: Bibliothèque Saint-Sulpice

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Mgr. Faucher et la moralité des lectures [1929]

Pour l’amour des livres (photographies anciennes)

En cette Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, voici quelques photographies anciennes ayant pour thème… les livres! Comme vous allez le constater, le livre était un accessoire souvent utilisé lors des séances de photographie chez William Notman à Montréal!

Photographie | Mlles Creighton, Montréal, QC, 1862 | I-3235.1
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Photographie | Mme Ogilvey, Montréal, QC, 1872 | I-79367
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Photographie | Mme Lyde, Montréal, QC, 1869 | I-40389.1
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Photographie | Mlle De Sola, Montréal, QC, 1875 | II-13661.1
Photographie | M. Evans père, Montréal, QC, 1862 | I-2719.1

Bonne lecture!
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