J’ai la mémoire qui tourne (site web de l’émission à Historia)

Il y a quelques temps Historia, une chaîne de télé québécoise spécialisée en histoire, lançait un appel au public pour trouver des films de familles tournés en 1920 et 1989. Ces films allaient constituer le matériel de base pour l’émission  »J’ai la mémoire qui tourne » diffusée dès août 2009. Je vais vous présenter aujourd’hui le site web de cette émission.

memoire

Les films

On retrouve énormément de contenu vidéo sur le site de J’ai la mémoire qui tourne. Il y a des vidéos amateurs tournés à Québec, à Roberval, Rivière-du-Loup, Chicoutimi, Percé, Montréal, donc un peu partout à travers le Québec.

Il y a des webépisodes dont une qui porte sur Maurice Richard, commentée par Ron Fournier.

Le blogue

Le blogue de l’émission est rédigé par Sylvain Cormier, Marie Brunette, Yanic Viau, Marie-Michèle Tremblay, Eric Ruel et Guylaine Maroist. Ces billets donne des informations sur les vidéos: dans quelles circonstances ils sont été réalisés, dans quel contexte historique, etc. Comme quoi même les films de famille recèlent d’informations sur l’histoire du Québec!

Il manque quelques fois un lien vers le vidéo dont il est question dans le billet.

Web collaboratif

Le public est invité à enrichir le contenu de ce site web et ce, de plusieurs façons. En s’inscrivant (gratuitement), on peut téléverser des films issus de nos archives familiales, commenter et ajouter des tags (mots-clés) décrivant les films en ligne. On peut créer une liste de nos films préférés ou les partager via les médias sociaux (Facebook, Twitter, Delicioux, Digg, etc) ou par courriel.

La prochaine série de J’ai la mémoire qui tourne sera présentée à l’automne 2010.

On peut aussi suivre  »J’ai la mémoire qui tourne » via Facebook.

Le premier épisode de la série peut être visionné en cliquant ici.

En somme, cela vaut la peine d’être un visiteur régulier de ce site et d’y contribuer!

Adresse: http://jailamemoirequitourne.historiatv.com/accueil

Billet relié:

    Pourquoi je blogue et je twitte

    Il y a quelques mois, plus précisément en novembre 2008, j’ai créé ce blogue. Mon but était de replonger dans le monde fascinant de l’histoire, après m’en être éloigné pendant un certain temps.

    J’ai étudié l’histoire à l’université. J’ai produit un essai pour l’obtention de la maîtrise profil multimédia. Quand on rédige un essai, une thèse, cela occupe une part importante de notre temps. On se concentre sur notre sujet d’étude. On l’analyse sous plusieurs aspects. On le décortique. Notre petit monde tourne autour de la fameuse remise du précieux document et/ou de la soutenance de thèse.

    Après deux ans de recherche et de rédaction, j’avais besoin de souffler un peu et de passer à autre chose.

    Donc, en novembre 2008, sentant l’intérêt revenir, je me suis lancée dans l’écriture d’un blogue. Et je ne le regrette vraiment pas, je considère que c’est une expérience très enrichissante et positive. Quelques mois plus tard, j’ai ouvert un compte Twitter. Je conseille aux amateurs d’histoire, aux historiens et autres professionnels de bloguer et de twitter et ce, pour plusieurs raisons.

    Pourquoi bloguer et twitter?

    • Partage. Signaler à son lectorat les ressources d’intérêt. Donner de la visibilité à des sites internet au contenu utile et bien présenté. Faire connaître des aspects méconnus de l’histoire du Québec.

    • Réseautage. Connaître les professionnels en histoire, les amateurs d’histoire du Québec et ceux qui travaillent dans des domaines connexes (musées, bibliothèques, établissements d’enseignements). Faire connaître son portfolio, ses compétences, et ses réalisations.

    • Veille informationnelle. Connaître les ressources (articles de journaux, sites internets, organismes, etc. ) en histoire. J’utilise à cet effet Google Reader, Twitter et Netvibes. Ultimement, je rédige des billets sur les ressources qui m’apparaissent les plus susceptibles d’être utiles.

    • Réflexion. Bloguer me pousse à réfléchir, à analyser et à articuler mon propos. Chaque semaine, cela nourri ma réflexion quand à l’utilisation de l’informatique pour faire connaître l’histoire du Québec.

    • Historien 2.0. Faire tomber les préjugés concernant les historiens: êtres asociaux qui passent leur vie dans des bouquins poussiéreux, a étudier les boulons de charrettes au 19e siècle dans le comté de Saint-Perlinpinpin. 🙂

    • Trouver de nouvelles pistes de recherche en histoire…

    • Et surtout, pour le plaisir d’écrire, d’apprendre et d’interagir avec d’autres passionnés d’histoire!

    Comme vous le voyez, il y a plusieurs raisons pour utiliser le blogue et le gazouillis comme outil de communication. Et vous, utilisez-vous Twitter et le blogue pour faire connaître vos passions?

    Billets reliés:

    Twitter: mini-bilan

    J’utilise le service Twitter depuis quelques mois. Gazouiller (twitter), c’est publier un message qui fait moins de 140 caractères. On s’abonne aux mises à jours des utilisateurs de son choix et on se crée un réseau.

    J’ai décidé de m’inscrire après avoir constaté qu’un des billets du blogue que vous consultez présentement avait été mentionné sur Twitter. Voici un mini-bilan de mon expérience.

    J’utilise Twitter pour faire connaître des sites internet et des articles à propos de mes champs d’intérêts : l’histoire, l’éducation, les bibliothèques, les archives, le web 2.0., etc. Partager, donc. Twitter constitue pour moi un outil de veille dans ces domaines. J’y puise mon inspiration pour certains billets.

    Il y a des étudiants, des professeurs d’histoire et des historiens sur ce réseau. Je peux en savoir plus sur leurs recherches et sur leurs méthodes pédagogiques, ce que ne me permettent pas vraiment les médias traditionnels, à moins qu’il y ait controverse (ex. l’enseignement de l’histoire au Québec).

    Il est difficile de suivre tous les gazouillis de notre réseau. La lecture en diagonale s’impose. Il y a bien sûr la quantité, mais aussi le contenu. Combien de fois me suis-je demandé, mais qu’est-ce qu’il a bien voulu dire, ce type-là? Il faut analyser l’information que l’on reçoit; ne pas se contenter de la gober.

    En somme, Twitter, c’est bon pour recueillir de l’information, mais il faut savoir faire le tri.

    Billets reliés:

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