Journal Le Peuple, Chaudière-Appalaches (1900-1972)

Vous pouvez maintenant consulter sur le site internet de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BANQ) le journal Le Peuple publié à Montmagny entre 1900 et 1972. Ce journal est un mélange de nouvelles locales (Montmagny), nationales et internationales. On y retrouve aussi des nouvelles des comtés de Dorchester, Bellechasse, Beauce, l’Islet, etc.

Au moment d’écrire ces lignes, les numéros publiés entre 1900 et 1932 peuvent être consultés à l’adresse suivante: http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4019635

Vue d’Ensemble, Montmagny, Qué. / v. 1903-1934. BANQ http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2482851

Décès de l’ethnologue Jean-Claude Dupont

par Vicky Lapointe

La Société québécoise d’ethnologie a annoncé le 17 mai le décès de l’ethnologue québécois Jean-Claude Dupont (1934-2016).

Pour en savoir plus sur sa contribution à l’ethnologie québécoise, je vous invite à lire cet article de la SQE, Hommage à Jean-Claude Dupont, publié en 2015.

BANQ a numérisé et mis en ligne sept de ses livres sur les légendes du Québec:

  • Contes de bûcherons

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406261

  • Le légendaire de la Beauce

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406264

  • Légendes du Saint-Laurent : récits des voyageurs

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406244

  • Légendes du coeur du Québec

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406245

  • Légendes des villages

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406246

  • Légendes de la Gaspésie et des Iles de la Madeleine

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406268

  • Légendes de la Côte-Nord : de Tadoussac à Blanc-Sablon

http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2406271

 

 

Revues, bulletins et magazines d’histoire du Québec

Ce qui suit est une liste non-exhaustive des revues, bulletins et magazines d’histoire du Québec.

D’autres publications seront ajoutées au cours des prochaines semaines (les suggestions d’ajouts sont bienvenues).

En complément, consultez le billet intitulé Facebook: Liste des organismes québécois de diffusion de l’histoire et du patrimoine.

Général

Cap-aux-Diamants

Histoire Québec

Revue d’histoire de l’Amérique française

Mémoires vives Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs (CFQLMC)

Régional
Magazine Gaspésie (Musée de la Gaspésie).

Revue d’études des Cantons-de-l’Est/Journal of Eastern Townships Studies (RECE/JETS) publiée par le Centre de ressources pour l’étude des Cantons-de-l’Est (CRCE).

L’Estuaire Revue d’histoire des pays de l’estuaire du Saint-Laurent.

Le Javelier (Société historique de la Côte-du-Sud).

Au fil des ans (Société historique de Bellechasse).

Revue sur l’histoire de la Maurice et du Centre-du-Québec (début de la parution prévue en 2017).

Quebecensia (Société historique de Québec).

Montréal en tête (Société historique de Montréal).

Revue d’histoire de Charlevoix (Société d’histoire de Charlevoix).

Hier encore, revue d’archives, d’histoire et de patrimoine du Centre régional d’archives de l’Outaouais.

Saguenayensia – Société historique du Saguenay.

L’Echo des Basques – Société d’histoire et de généalogie de Trois-Pistoles

Bulletin de la Société d’histoire du Plateau Mont-Royal

Bulletin Le Messager Société d’histoire de Joliette – De Lanaudière

La Fournée – Société d’histoire de la région de Terrebonne

Cahiers d’histoire par Héritage Sutton

Revue d’histoire de la Côte-Nord par la société historique du Golfe et la société historique de la Côte-Nord.

Associations de famille

La Charpente (Association des Truteau d’Amérique)

Les îles du Saint-Laurent et les Paysages de la Nouvelle-France

Bibliothèque et Archives Canada a mis en ligne une vidéo intitulée ‘Les îles du Saint-Laurent’. Produite par l’Associated Screen News en 1941, on y visite l’Ile Perrot, Montréal, l’Ile d’Orléans, l’île aux Coudres et l’île Bonaventure.


Ensuite, la deuxième vidéo que je vous invite à regarder, également produite par l’Associated Screen News s’intitule ‘Les Paysages de la Nouvelle-France’. Présentée par l’Office du tourisme de la province du Québec, elle date de 1940. Parcourez Québec, le parc national des Laurentides, Chicoutimi, Péribonka, le Cap Éternité, Tadoussac, La Malbaie, et Sainte-Anne-de-Beaupré. Il y a quelques belles images de drave et on y voit des fours à pain d’antan.

Bon voyage!

Des Norvégiens à Gaspé en 1860

Dans le Canadien, 20 juillet 1860, on peut lire l’entrefilet suivant:

« LES NORVÉGIENS À GASPÉ

Le vapeur Arabian vient de transporter à Gaspé plusieurs familles norvégiennes qui se proposent de s’établir dans ce beau district, dont le climat et le sol présentent beaucoup d’analogie avec ceux des plus fertiles parties de la Norvège. Ces émigrants, qui sont des marins, des pêcheurs ou des fermiers, ne manqueront pas de se plaire dans une localité qui leur rappellera ainsi leur terre natale, et sans doute que leurs travaux contribueront à la prospérité de leurs patrie adoptive. »

Selon le recensement du Canada-est de 1861, il y avait bel et bien des résidents du comté de Gaspé, district de Malbaie, originaires de Norvège. Il s’agit de:

  • Knud et Hannah Arnesen;
  • Peter Johnson;
  • Andrew et William Wilson;
  • Iver Peterson;
  • Martin, Johnson;
  • Cerat? Ulricson;
  • William Klasskeit?;
  • Lodvick, Christina, Dorathy, Hannah, Peter, Frederick et Chesten Brandt;
  • GulBran et Celina Christopherson;
  • Peter Brandt;
  • Hannah Johnson;
  • Christian Burnested.

Dans la marge du recensement, il est écrit « No 30 @ 50 are Norwegian immigrants who came down form Quebec last summer. »

Or, il ne s’agit pas du seul groupe de Norvégiens à résider à cet endroit comme on peut le voir sur cette page. Il faut ajouter à cette liste

  • Theodore Burnested;
  • Elleny, Sagre, Gertrude, Randy et Annie Vagen;
  • Oliver, Sagre, Bottle et Olenna Urdelle;
  • Evert, Krent, Theodore, Barquette et Martin Boisen.

Selon le recensement canadien de 1861, les autres Norvégiens du Canada-Est étaient majoritairement établis dans le district de Compton ainsi qu’à Québec.

Liste des navires ayant quitté la Norvège à destination de l’Amérique du Nord en 1860 (Norway Heritage, Hands across the sea).

Billets reliés
PHOTOGRAPHIE: IMMIGRANTS À QUÉBEC, 1908-1914

PHOTOGRAPHIES: IMMIGRANTS ARRIVANT À QUÉBEC, 1911

PEHR KALM, UN SUÉDOIS EN NOUVELLE-FRANCE (1748)

DES IMMIGRANTS ISLANDAIS AU CANADA (PORT DE QUÉBEC, AOÛT 1876)

Effondrement de la seconde arche du rocher Percé [1845]

Vue de l'île Percée, un rocher remarquable dans le golfe Saint-Laurent..

Vue de l’île Percée, un rocher remarquable dans le golfe Saint-Laurent.. par Hervey Smyth, 5 novembre 1760, BAC

Haut de 288 pieds, long de 1500 et large de 300, le Rocher de Percé est composé de calcaire de couleur jaune et rouge, qui forme une masse taillée perpendiculairement. Cet étrange bloc est bordé, d’un côté, par une petite grève; mais de l’autre côté, assure-t-on, la profondeur est telle, qu’en temps calme, un navire de guerre peut y accoster impunément. Par la nature de sa formation, cet îlot – jadis relié au Mont-Joli, – a dû souvent changer d’aspect. Champlain en le relevant dit que « l’île de Percé est comme un rocher fort haut, élevé des deux côté, où il y a un trou par où les chaloupes et bateaux peuvent passer à la haute mer, et de basse mer on peut aller de la grande terre à la dite île qui n’en est qu’à quelque quatre ou cinq cents pas. » Denys de son côté assure, sur la fois d’une tradition indienne, que l’île de Percé se prolongeait jadis jusqu’à l’île de Bonaventure, mais que la mer l’ayant mangée par le pied, elle en fit tomber une partie. « J’ai vu, écrivait-il, soixante ans après Champlain, qu’il n’y avait qu’un trou en forme d’arcade par où une chaloupe passait à la voile; depuis il s’en est fait deux autres qui ne sont pas si grands, mais qui à présent croissent tous les jours et il y a apparence que ces trous affaiblissant son fondement, seront cause à la fin de sa chute.  » Cette prévision s’est réalisée. Maintenant Percé n’a plus qu’une des arches mentionnées dans la description que Denys fait des côtes du golfe: la seconde s’est effondée [sic] en 1845 (17 juin).

Extrait de La Gaspésie : promenades dans le golfe Saint-Laurent : Nouvelle-Ecosse, Ile du Prince-Edouard, Nouveau-Brunswick, la baie des Chaleurs, la Gaspésie par Edmond Faucher de St-Maurice, Montréal,  Cadieux & Derome, 1886.

Billets reliés

Sur le web: Mémoires de marées – Survol des naufrages gaspésiens

Boisson sous la tribune de l’institutrice [Mont-Albert, 1936]

Naufrage de la goélette Saint-Laurent (septembre 1839)

Patrimoine horticole: Les Jardins de Métis

Boisson sous la tribune de l’institutrice [Mont-Albert, 1936]

L’Action catholique, 1er juin 1936

BOISSON SOUS LA TRIBUNE DE L’INSTITUTRICE

Les contrebandiers ont tous les tours. Ils en sont rendus à cacher leurs liqueurs dans les écoles, comme nous le révèle un entrefilet du  »Progrès du Golfe » hebdomadaire de Rimouski.

Voici ce que nous raconte le journal du notaire Eudore Couture:

Une petite paroisse de la Gaspésie, Mont-Albert, a reçu cette semaine la visite des officiers de la Gendarmerie Royale qui ont fait une découverte en un lieu tout à fait insolite.

Après quelques perquisitions dans le village, l’idée leur vint de faire une visite à l’école. Dès que les élèves furent sortis, avec la permission de l’institutrice, ils firent la visite des lieux. Sous la plate-forme de la tribune de la  »maîtresse » ils trouvèrent 18 gallons d’alcool, et dans le grenier 29 gallons. Le propriétaire de cette boisson fut découvert et arrêté. Il a plaidé coupable, hier, devant le magistrat Couillard, qui l’a condamné à $100 d’amende et les frais, ou trois mois de prison.

L’institutrice, qui ignorait cette cachette, fut exonérée de tout blâme.

Billets reliés

L’Abbé J.-N. Dubois et la prohibition totale [1919]

Sur le web: Mémoires de marées – Survol des naufrages gaspésiens

Le torpillage du Nicoya et du Leto dans le golfe Saint-Laurent par un sous-marin ennemi [1942]

Collision [Intercolonial, entre le Bic et Rimouski, mars 1889]

Archives audiovisuelles en ligne: la collection Mémoires vives [Est du Québec]

Le torpillage du Nicoya et du Leto dans le golfe Saint-Laurent par un sous-marin ennemi [1942]

Affiche – «Abattez-le par votre travail» Crédit: Bibliothèque et Archives Canada, no d’acc 1983-30-26

Mai 1942: les eaux du golfe du Saint-Laurent sont sillonnées par des sous-marins allemands. Ceux-ci vont faire des dégâts. Cela s’inscrit dans ce que l’on appellera plus tard la Bataille du Saint-Laurent.

Voici deux articles, publiés par la Patrie et le Progrès du Golfe, en lien avec le torpillage dans la nuit du 11 au 12 mai 1942 de deux cargos dans les eaux du Saint-Laurent par le U-553. Les deux bateaux impliqués sont le Nicoya (Grande-Bretagne), coulé à 15 kilomètres au nord de Pointe-à-la-Frégate et le Leto (Pays-Bas), coulé près de Rivière-la-Madeleine. Ces deux articles illustrent bien la censure en temps de guerre.

Pour accompagner l’article, j’ai inséré quelques publicités et affiches de propagande de la Deuxième Guerre mondiale.

Extrait du Progrès du Golfe, 15 mai 1942

DEUX NAVIRES TORPILLÉS PAR UN SOUS-MARIN ENNEMI SUR LE SAINT-LAURENT
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Dans la nuit de lundi à mardi
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Deux cargos ont été torpillés et coulés par un submersible ennemi sur le fleuve St-laurent lundi dernier, 11 mai, vers 11.50 du soir. Pour nous conformer aux instructions de la Censure, nous ne pouvons révéler les noms des navires torpillés, leur nationalité, les noms de leurs officiers, le port où débarquèrent les rescapés, l’endroit du coulage, ni leur cargaison, afin de ne fournir aucun renseignement qui pourrait servir à l’ennemi.

Extrait de la Patrie, 12 août 1942

Au témoignage d’un officier du bord, le premier navire fut torpillé deux fois par le submersible, à quelques milles de la côte. Après la première torpille lancée sur l’avant du cargo, un immense sous-marin émergea à quelques arpents du navire, l’éclaira d’un puissant projecteur et presqu’aussitôt lui lança une seconde torpille qui l’atteignit en plein centre. L’équipage eut juste le temps de sauter dans des chaloupes de sauvetage avant que le cargo coulât. Au matin, les chaloupes atteignirent la rive et les rescapés, au nombre de 111, trouvèrent refuge dans des familles de la côte. La plupart étaient à demi-vêtus. Les chaloupes n’ont pas toutes atterri au même endroit. L’une d’elles n’était occupée que par une femme et son enfant. Tous ces rescapés furent conduit dans un port de l’est, mardi, et logés dans des hôtels ou à l’hôpital selon leur état, car il y avait quelques blessés.

Le nombre des rescapés comprend les membres de l’équipage et des marins qui se rendaient prendre charge d’un autre navire, vraisemblablement le deuxième qui fut coulé immédiatement.

Au moins l’un des marins a perdu la vie, peut-être deux. Ils étaient couchés lors du torpillage dans la partie du navire qui fut atteinte par la première torpille. Le mort a été transporté dans un port de la côté et inhumé mercredi dans un cimetière local.

Le bruit produit par le premiere torpillage fut entendu par des riverains, qui se levèrent en hâte et virent un navire éclairé disparaître dans les eaux du fleuve.

Affiche de propagande v. 1940-1942 Crédit: Bibliothèque et Archives Canada, Acc. No. 1983-30-109

Le ministre de la marine de guerre canadienne, l’hon. Angus MacDonald, a annoncé officiellement d’Ottawa dans la journée de mardi le torpillage du premier navire coulé la nuit précédente et le lendemain il annonçait qu’un deuxième navire avait été également torpillé et coulé en même temps que le premier.

Selon des rumeurs qui ont cours depuis, un troisième navire aurait été également coulé, et même deux autres de plus, ce qui porterait à cinq le nombre des unités maritimes victimes du sous-marin. Mais ce ne sont que des rumeurs sans doute fantaisistes qu’il nous est naturellement impossible de contrôler et que nous mentionnons sans vouloir le moindrement les accréditer.

C’est la première fois, depuis l’existence de la Confédération, qu’un torpillage par sous-marin ennemi se produit sur le fleuve St-Laurent.

Deuxième article.

Extrait de La Patrie, 13 mai 1942

2 PERSONNES MANQUANT À L’APPEL APRÈS LE TORPILLAGE

Un sous-marin ennemi coule un cargo dans le fleuve St-Laurent
__
Dans un port du fleuve St-Laurent, 13. (P.C.) – Un correspondant de la Presse Canadienne a été informé que deux hommes manquant à l’appel dans le torpillage survenu dans le fleuve St-Laurent. Cette information viendrait d’un des survivants.
***
L’opinion prévaut à Rimouski, selon des renseignements obtenus d’un marin du navire même qui fut coulé lundi dans le bas Saint-Laurent par un submersible, que le cargo a été la victime d’un sous-marin montant le guet derrière les îles de la Madeleine.

Le navire coula à deux milles de la côte et les riverains assistèrent même à la disparition de ses lumières de course. Quatre-vingt-marins furent rescapés, dont 41 se destinaient à changer de navire dans un des ports du Saint-Laurent.

Lundi soir, une torpille touchait le cargo dans sa proue: le sous-marin apparaissait subitement en surface pour diriger ensuite un réflecteur électrique sur le vaisseau en naufrage. Quelques instants plus tard, une seconde torpille forçait le cargo à couler en moins de vingt minutes.

Affiche  »« On demande de la ferraille…pour la fabrication de chars d’assaut, de canons et de munitions » : Effort de guerre canadien et campagne de sensibilisation à la production. » Crédit: Bibliothèque et Archives Canada, no d’acc 1983-30-36 v. 1943

Pour l’instant, des vaisseaux de la marine navale canadienne patrouillent la région, entre l’Ile d’Anticosti et les îles de la Madeleine afin de repérer la présence de sous-marins dans le fleuve Saint-Laurent.

Les naufragés, dont plusieurs sont quelque peu blessés, ont atterri à bord de trois chaloupes dans des centres de pêcheurs sur la côte du Saint-Laurent.

Toutefois, toujours selon des rumeurs venant de marins descendus depuis ce matin dans le port de Montréal, une information veut que 41 marins, trouvés à la dérive au large de la Gaspésie, viendraient d’un autre navire vraisemblablement coulé.

Dans le port de Montréal, on parle encore d’une chaloupe dérivant vers la rive avec une femme et un enfant. Ceux-ci auraient été sauvés.

D’après une enquête, le mouvement des navires serait interrompu sur le fleuve. Les mines, mouillées dans le détroit de Cabot, n’étant pas ancrées, en raison de la profondeur du fleuve, il ressort que les navires hésitent à s’aventurer dans ces régions de la sortie et de l’entrée du golfe.

Affiche: Mesdames s’en vont en guerre – au pas, ménagères, au pas! Crédit: Library and Archives Canada, Acc. No. 1983-30-3

Dorénavant, annonce le ministère des affaires navales, les pertes en vaisseaux pouvant se produire dans le St-Laurent ne seront pas connues du public. Depuis cette nouvelle, toutes les informations venues du fleuve seront conjecturales.

Aux États-Unis, selon la Presse associée, le Congrès étudie un projet de lancer des dirigeables pouvant servir de porte-avions à la façon des navires à pistes d’atterrissage. Vingt-quatre ballons de petites proportions (Blimps) seront lancés pour la protection des cotes contre les maraudeurs sous-marins.

Bibliographie

Fabrice Moseray.  »Il y a 70 ans… les U-boats remontaient le Saint-Laurent’‘. Publié sur cyberpresse (Le Soleil) le 6 mai 2012.

La Presse.  »La torpille frappa le cargo au centre’‘. Publié dans La Presse, 16 mai 1942.

Anciens combattants Canada. [En ligne]L’offensive sous-marine gagne la côte Est du Canada. [Page consultée le 25 août 2012]

Billets reliés

Photos: le camp d’internement no 42 (camp Newington), Sherbrooke 1944-1945

Site internet de la Commonwealth War Graves Commission

Le torpillage du Lusitania (7 mai 1915)

Des Canadiens-français sur le Nil (Khartoum, Soudan, 1884-1885)

Banque d’images et chroniques du Musée de la Gaspésie

Le centre d’archives du Musée de la Gaspésie a mis en ligne une banque d’images (52 images) ainsi que des chroniques.

Je vous invite également à suivre le musée sur Twitter et Facebook.

Billets reliés

Sur le web: Mémoires de marées – Survol des naufrages gaspésiens

Archives audiovisuelles en ligne: la collection Mémoires vives [Est du Québec]

En ligne! Le Progrès du Golfe 1904-1970 Journal du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

Patrimoine horticole: Les Jardins de Métis

Sainte-Flavie: histoire et circuit patrimonial

Sur le web: Mémoires de marées – Survol des naufrages gaspésiens

Je voudrais porter à votre attention la série Mémoire de marées, survol des naufrages gaspésiens, une série de huit capsules de cinq minutes. Je vous recommande particulièrement l’épisode 4 sur les naufragés et le numéro 7 sur la bataille du Saint-Laurent.

Bonne écoute!

Pour en savoir plus sur la production de Mémoires de marées, lire: Johanne Fournier, Le Soleil. »Récits de naufrages racontés en images » 1er mai 2011. Adresse URL

Billets reliés

Le naufrage du Titanic d’après les journaux québécois de l’époque

Le naufrage du Lunenburg (4 décembre 1905, Iles de la Madeleine)

Le naufrage du Lady Seaton (Iles de la Madeleine, 4 décembre 1847)

La tragédie de l’Empress of Ireland, 29 mai 1914, en images

Pirates ou corsaires? A l’abordage sur le Saint-Laurent